A la suite de la correction de notre projet, nous allons essayer de solutionner l’ensemble des problèmes soulevés par le jury.
Il s’agit :
v DES VOIRIES :
· Des voiries situées en limite du champ. En effet, nous les avons ouvertes à la circulation automobile, ainsi, elles ne constituent pas une bonne limite. Contrairement à l’effet que nous attendions d’elles, elles risquent d’encourager l’étalement urbain.
· Du déclassement de la rue de la Fontaine. Nous pensions la donner aux piétons, mais se pose alors le problème de la circulation automobile qui risque d’engorger les cœurs des villages. Il faut changer les habitudes des conducteurs.
· De s’appuyer sur les voiries existantes pour définir nos zones de projets.
· De l’accessibilité qui doit être assurée pour l’ensemble de nos secteurs de projets.
· De l’ensemble des nouvelles voiries que nous avons mis en place. Il faut limiter leur nombre et projeter là où l’accessibilité se fait déjà.
· De la relation entre nos secteurs qu’il faut améliorer.
v DU BATI :
· Du grand nombre de logements que nous avons planifié. Nous allons nous appuyer sur le PLU pour connaitre le besoin en logement réel du secteur.
· De la recherche de zones à bâtir dans le tissu existant et pas uniquement dans le champ.
· De la zone artisanale que nous souhaitons mettre en place au nord, en relation avec les logements et le secteur agricole.
v DES TRANSPORTS :
· Du tramway que nous souhaitions mettre en place pour notamment desservir le secteur E3. La mise en place d’un tramway est coûteuse, de plus la zone est déjà desservie par un train. Il faut donc valoriser la multimodalité existante.
v DU SECTEUR AGRICOLE :
· De l’exploitation agricole qui devient anecdotique à cause de son échelle. On pourrait envisager d’y mettre en place de l’agriculture vivrière. L’échelle de cette agriculture serait définie par le nombre de logements. La mise en place d’une telle agriculture pourrait créer de l’emploi et permettrait par exemple d’alimenter les cantines scolaires à moindre frais. Les jardins familiaux, éléments majeurs de l’identité du site, doivent être repensés dans cette nouvelle logique agricole.
· De la question de l’identité du quartier. Nous sommes dans un quartier périphérique qui doit être traité de manière différente qu’un grand centre de ville.
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