C. MARIOTTI, F. MOHR, G. NEFZI, L.SCHMITT
Nous allons reprendre les différents points abordés durant la séance de correction / discussion.
Situation de Strasbourg dans sa région
- Qu’est ce qui explique le développement de la ville à cet endroit du territoire ? potentiels de la géographie à montrer.
- Strasbourg est un centre majeur ; sa liaison avec les pôles français et européens apparaît être un enjeu. Elle est tournée vers l’Allemagne. La ville de Kehl semble appartenir à la CUS ; on ne sent pas de réelle limite si ce n’est au niveau de l’administration.
- On ne peut analyser Strasbourg qu’à travers son réseau d’infrastructures, il faut montrer ce qui crée son attractivité
Les pleins et les vides dans l’agglomération
- L’agglomération est assez éclatée et présente un certain nombre d’espaces vides (peu denses). Ces vides sont de natures très diverses (parcs, échangeurs, friches…) ; il faut déterminer leur qualité.
- Progressivement, on va aboutir à une densification de ces espaces. Ils peuvent constituer des potentiels pour le renouvellement urbain mais peuvent aussi être mis en valeur pour leur qualité de vide.
Le développement des villes de Bischheim, Souffelweyersheim, Hoenheim
- Dans un premier temps, elles ont connu une extension nord-sud, en suivant les axes historiques (route de Brumath, route de Bischwiller). D’autres voies, d’orientation est/ouest, ont aussi contribué à structurer l’urbanisation de ce secteur.
>De façon générale, pour toute la partie portant sur l’analyse de l’agglomération, il faut s'interroger sur la position du secteur choisi dans les différents thèmes et face aux enjeux étudiés. L’analyse doit permettre de définir la spécialité, les qualités et les potentialités du secteur choisi.
Concernant les enjeux du secteur nord, différentes problématiques ressortent de nos discussions entre les membres du groupe. En voici les principales :
Quels pôles de centralité sont identifiables ?
Comment créer davantage de mixité ?
Quelle qualité donner à l’espace agricole enclavé ?
Comment donner une limite à la ville ? au terrain agricole enclavé pour éviter une extension de l’urbanisme ?
Nous avions émis quelques hypothèses de projet :
Création d’une « percée verte » qui relie les terrains agricoles aux autres espaces verts
Pour marquer une limite : création d’un chemin piéton sur une partie du pourtour de l’espace enclavé, développement des jardins familiaux au sud
Création d’un pôle polyfonctionnel par la réappropriation des friches industrielles de la gare de Bischheim. ( Référence à la Westergasfabrick en Hollande)
> Ce serait plutôt une solution à long terme. A court ou moyen terme, il faut rester dans l’optique du maintien des activités autour de la gare, qui constitue un pôle d’emploi. Ce sont des temporalités différentes qui entrent en jeu.
> Comment les lisières de la voie ferrée pourraient-elles profiter à la dynamique du vide ?
Après discussion avec les enseignants, nous avons compris que nous souhaitions trop tôt définir un projet pour le secteur. Par rapport à la question des limites, il faut voir sur place quels sont les éléments qui en constituent déjà une, les potentialités de chaque espace et ce qui pose problème. Au final, il faudrait définir une carte des éléments positifs et négatifs.
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