projet urbain strasbourg

Compte rendu du 30 mai

Suite à notre correction, nous avons du nous positionner sur le schéma général. Devons nous garder Strasbourg comme seul centre attractif ou faire de ce secteur nord un pôle complémentaire pouvant servir à toute la population de ce site ainsi que celle de Strasbourg. C’est ce deuxième choix qui nous parait le plus approprié. Nous voudrions y apporter des bassins d’emplois ainsi que quelques équipements majeurs comme salles de concerts, cinémas… afin d’en faire une périphérie autonome et attractive tout en maintenant le rapport au centre.

                Nous devons nous projeter sur une plus longue durée afin d’avoir un plan masse définitif qui nous permettra d’envisager un meilleur phasage en tenant compte des besoins et des possibilités du foncier. Nos projets doivent être cohérents avec nos ambitions, comme par exemple avec un projet de bus en site propre devant desservir un nombre suffisant de maisons. Un problème nous a été posé avec la conservation ou non de certaines maisons individuelles. Les grands ensembles posent moins de problèmes car il est difficile de détruire et de reloger des habitats sociaux, ce qui incite à les réaménager.

                Pour ce qui est de la voirie, nous devons créer des accidents dans un réseau plus rectiligne (place, gabarits,…). Les bâtiments sont à revoir dans leur taille, épaisseur, profondeur. Les plans d’ensemble restent eux à peu prés cohérents.

Groupe 21

Suites aux différents objectifs énumérés la séance précédente, le travail de mise en valeur de notre secteur porte essentiellement sur la valorisation de la « poche » agricole. Pour cela, nous cherchons à créer   un nouveau dynamisme des axes est-ouest, pour rassembler les différents secteurs environnants autour de cet espace agricole.

Quatre sous-secteur permettent de travailler sur cette problématique :
    Autour de la gare tram-train de Zaha Hadid, une redistribution des bureaux inutilisés ainsi que la construction d’habitation entre les locaux commerciaux actifs permettra de densifier cette zone bien desservie, tout en gardant une relation entre les terres agricoles centrales et celle qui se trouve à l’extérieur des zones urbaines. Cet espace agricole extérieur peut être préservé et s’infiltrer dans le quartier sous forme de promenade urbaine, et permettrait de créer un lien direct, paysagé, entre les étangs (« Baguersé du Nord ») et les terres agricole centrale en passant par le canal.

    Les limites, entre zone urbaine et champs,   doivent être définies avec une voie épaissie de promenade piétonne et cycliste, de jardin éducatif, de zone boisée, de vergés, de petits équipements publics de loisir qui ouvrent vers le paysage agricole. Le cimetière peut être considéré comme lieu paysager, et n’est pas obligé de construire la nouvelle voie. Il s’agit de plus s’orienter vers des articulations des emboîtements de différent élément (cours Léopold, parkway, rue commerçante …) Pour imaginer le tracé de la nouvelle voie, qui reprendrait en partie le trafic de la route des fontaines.La disposition d’un nouvel arrêt de train peut prolonger cette voie par une passerelle piétonne au-dessus des voies ferrées.

    Les flux engendrés par le quartiers E3, l’autoroute à l’ouest et les noyaux villageois de l’est, peuvent se réguler grâce à une contre-allée,mise en place le long de l’autoroute en attente d’un déclassement de cette dernière, des bureaux, facilement accessible borderaient cette contre-allée. Au cœur du quartier, on pourrait envisager de démolir et réhabilité les emplacements des grands hangars désaffectés et du centre commercial « boîte à chaussure ». Revaloriser les voies de circulation afin que celles-ci accueille aussi les cyclistes, imaginer un parcours de navette électrique bien cadencé entre l’arrêt de train, le quartier, la route de Brumath, permettrait de re-dynamiser le quartier en termes de déplacement, avec peut-être la possibilité de doubler le pont pour un nouveau trafic cycliste. Pour finir, nous chercherons à conserver et valoriser le cimetière comme respiration urbaine, lieu de paysage.

    La route de Brumath, doit être plus villageoise. Pour cela il est possible d’élargir les trottoirs, d’intercaler entre les stationnements des arbres. Mais aussi de densifier dans les dents creuses par de petit collectif avec en rez-de-chaussée des commerces. Il s’agit d’apporter des équipements publics et des parcelles constructibles en limite des terres agricoles. Renforcer cette limite en liaisons avec la limite sud du terrain (front bâtie de qualité, chemin cyclable qui longe la périphérie des champs, rue de desserte des habitations tournée vers une épaisseur arborée ou autre et les champs, Luna Park…).

Pour cette semaine, à voir pour la composition des îlots (largeur du bâtie, hauteur du bâti, largeur de voie…) Le PLU de Paris les figures. Rechercher des références d’îlots, puis débuter les schémas de projet et autre document de rendu.

Compte rendu 30 mai

GROUPE 2

Anxionnat Bénédicte, Laurent Jérémy, Moser Aurélie et Thille Grégoire

COMPTE RENDU DU 30 MAI

Questions d’échelle :

Plan d’ensemble : 1/5000°

Mettre en avant les axes fondateurs du projet

Montrer les voiries, les typologies de bâtis identifiées

Plan de Masse : 1/2000°

Expliquer comment les enjeux fonctionnent concrètement, donner des dimensions réelles

Montrer les espaces privés/ publics, les voies, les arbres, les ombres, les linéaires de bâtis et les hauteurs

Questions de phasage :

Affirmer des micro centralités pour l’agglomération de Strasbourg

Penser un projet pour nos sous-secteurs en partant du projet fini pour chaque sous-secteur (à long terme environ 20 ans)

Avoir une vision en compte à rebours ensuite, pour revenir à la première phase d’intervention de nos sous-secteurs

 

A propos des sous-secteurs :

Route de Brumath :

Densifier, donc prévoir le déplacement des maisons individuelles vers les franges

Donc penser un processus de remplacement pour arriver à un axe dense, mixte, dynamique, avec place(s) et activités

Créer une micro centralité

Gare de Bischheim :

Travailler la connexion avec l’Avenue de Périgueux par percée visuelle

Donc rendre accessible facilement

Sud de Souffel :

 Penser à la mixité et à la vie dans le quartier

Donc projeter des bureaux, activités et équipements, amenant de la vie et venant compléter le secteur de Hoenheim

 Penser l’interpénétration entre bâti et forêt

Hoenheim :

 Avoir un axe fort structurant le sous-secteur

 Se référer à des îlots existants (dimensions, implantation…)

Créer une micro centralité

 

Groupe 21 compte rendu du 6 mai 2008

Le Secteur Nord
De manière générale :

Après une modification des sous-secteurs, ils sont aujourd’hui définis de manière plus précise et demandent à être étudiés plus en profondeur. Les dimensions du sous-secteur ne devront pas excéder 5 hectares.

Enjeux principaux :
0_ Préserver la poche agricole. Transformer un espace économique monofonctionnel en un environnement urbain
1_ Revaloriser le secteur de Brumath pour rééquilibrer le secteur
2_ Axe de Brumath comme support d’une future densification
3_ Définir un périmètre d’urbanisation
4_ Faire des transports en commun un levier d’une nouvelle urbanisation
5_ Intégrer l’arrivée prochaine de la VLIO

Notre enjeu majeur étant de préserver la « poche », il nous faut pour cela pouvoir urbaniser et densifier autre part.
Quatre sous-secteurs se sont donc présentés comme étant porteurs de cette urbanisation :

La route de Brumath (nord)
_ Créer un équilibre entre les deux voies historiques (Brumath et Bischwiller)
_ Savoir donner priorité à l’intérêt public plutôt que privé (épaissir la route coté espace agricole)
_ Apporter de la mixité sociale, économique
_ Requalifier la voie a certains endroits

La route de Brumath (sud)
_ Résorber, anticiper et déployer le trafic nuisible qu’amènera la prochaine VLIO
_ Accentuer les passages au dessus des voies ferrées
_ Définir le tissu urbain(progression de l’urbanisation et donc du type de bâti)
_ Délocaliser le supermarché plus au nord au cœur de l’urbanisation
_ Densifier l’habitat et l’activité

Le sud de la poche agricole
_ Conserver l’idée de « vide » en insérant des « pleins »
_ Requalifier les routes en rues
_ Définir la nouvelle voie à l’ouest de Bischheim comme nouvelle limite urbaine
_ Travailler le rapport nature/ville
_ Faire coexister nature, agriculture, habitat et ville
_ Assurer un flux efficace de transports
_ Poursuivre la mixité de Bischheim et Schiltigheim.
_ Créer d’un arrêt tram-train ou train pour valoriser les connections avec le centre-ville strasbourgeois.

La gare d’Hoenheim & le secteur d’activité
_ Réorganiser la gare avec ses parkings aériens génèrent une grande consommation foncière
_ Éviter une coupure nette entre la gare et les tissus voisins (jardins familiaux, lotissements pavillonnaires, terrains agricoles,…)
_ Décrire la gare d’avantage comme pôle d’intermodalité que comme une limite de ville.
_ Apporter de la mixité et densifier le tissu autour de la gare
_ Créer une zone d’attractivité dense et digne de ce nom

Correction du 16.05.08

GROUPE 1 - NEUDORF

Suite à la phase 1, où nous nous sommes concentrés sur la ceinture verte du Neudorf, une nouvelle approche a été soulevé. Celle-ci est de mettre en scène la limite physique qui est le talus délimitant le quartier du Neudorf au sud. C’est une réelle limite physique ancienne, valeur historique liée à la protection de la ville. Notre enjeu a donc été quelque peu modifié sur le fait de percer cette ceinture. Le talus imperméable sera donc ouvert mais les points de percées seront judicieusement choisis en fonction de l’importance.

Quatre passages sont, pour le moment, définis à l’échelle urbaine, d’autres à l’échelle du Neudorf doivent encore être précisés.

COURS D’EAU

Les cours d’eau doivent devenir des continuités et des valeurs paysagères. Elles permettront un cheminement mental pour rejoindre des points caractéristiques. Mise en valeur de cet atout paysager.

SOUS-SECTEURS

Quatre sous-secteurs ont été déterminés, chacun soulevant un enjeu différent mais lié par une logique d’urbanisation commune. Les sous-secteurs sont : Heyritz, Schlutfeld, Musau et la cité Ampère et ses alentours.

            HEYRITZ :

            -transformation de l’autoroute en boulevard

            -création espace public en liaison directe avec l’eau

            -construction en bord du bassin, tissu urbain en front bâti le long du futur boulevard

            -percées paysagères vers l’eau ?

            SCHLUTFELD

            -deux possibilités avec le talus : s’adosser au talus ou lui faire face avec un recul suffisant

            pour d’éventuels aménagements urbains avec modes de transports doux

            -liaison du site avec la gare proche. « Accrochage » de la gare

            -Percées du talus. Ouverture : 1 ou 2 passages au maximum

            -Bâtiment Suchard : reconversion en équipement ?

            MUSAU

            -mettre en connexion la ceinture verte avec le bord du Rhin

            -continuité de la ceinture verte avec une logique de cités-jardins

            -densification du bâti vers l’eau. Gradation de la ceinture verte

            CITE AMPERE et ses alentours

            -travail sur la limite de la cité

            -rééquilibrer la rue Ampère : création de logements sur le côté sud de la rue.

            -aménagement d’un maille planté sur la rue Ampère. Continuité vers le Nord avec le quartier

            de la Musau, et vers l’Est en traversant le Rhin.

Compte rendu de la séance du 16/05/08

    Sur le plan d’aménagement, il faudrait qu’on approfondisse le travail d’analyse, c'est-à-dire préciser les raisons de nos choix, définir nos priorités… En effet, ce schéma global manque de force.

 
Pour la semaine prochaine, le travail à faire est :

- Un plan d’aménagement clair, plus précis et donnant les grandes orientations de projets ainsi que leur phasage : quelles sont les priorités ? quel espace public envisageons nous et dans quelle cohérence pour l’avenir ?

- Une carte de potentiel, de mutabilité des espaces

- Un plan masse futur global, qui définissent les espaces sans pour autant les figer : déterminer les points forts de chacun des projets, mais aussi leurs potentiels d’adaptabilité. Les points prioritaires sont à définir.

- Enfin, se pencher sur l’échelle des sous-secteurs et y réfléchir de manière plus précise.

 
    Pour se faire, mixité et densité sont des règles nécessaires à développer. D’autre part, les espaces publics sont l’occasion de recréer des continuités, des liaisons ainsi que des points d’articulation. Les liaisons pourraient ainsi être développées, tant vers le centre-ville que vers le Sud et l’Est.

 
    Dans le cadre du sous-secteur concernant la friche industrielle d’Heppner, densifier est une option, mais il ne faut pas oublier de créer une attractivité à l’échelle du secteur qui pourrait aboutir à la mise en place d’une mixité (avec des voies facilement accessibles et qui desservent les commerces,…).

Par rapport au secteur portuaire, nous l’avons localisé comme un enjeu fort, puisqu’il représente un potentiel foncier, mais aussi l’occasion de développer le Neudorf, et de reconquérir les berges. Ces dernières sont l’occasion d’améliorer le cadre de vie, et ce dans la continuité du projet proposé sur l’axe Strasbourg-Kehl.

 
    Ainsi, nous ne devons pas oublier le travail qui a pu être développé lors de la première phase, et les changements d’échelle, entre secteur et sous-secteurs notamment, sont essentiels. Leur imbrication nous permettra de mettre en place des orientations claires qui guideront l’ensemble de cette phase.

GROUPE 24 COMPTE-RENDU DU 09/05/08

                A la suite de la correction de notre projet, nous allons essayer de solutionner l’ensemble des problèmes soulevés par le jury.

                Il s’agit :

v  DES VOIRIES :

·         Des voiries situées en limite du champ. En effet, nous les avons ouvertes à la circulation automobile, ainsi, elles ne constituent  pas une bonne limite. Contrairement à l’effet que nous attendions d’elles, elles risquent d’encourager l’étalement urbain.

·         Du déclassement de la rue de la Fontaine. Nous pensions la donner aux piétons, mais se pose alors le problème de la circulation automobile qui risque d’engorger les cœurs des villages. Il faut changer les habitudes des conducteurs.

·         De s’appuyer sur les voiries existantes pour définir nos zones de projets.

·         De l’accessibilité qui doit être assurée pour l’ensemble de nos secteurs de projets.

·         De l’ensemble des nouvelles voiries que nous avons mis en place. Il faut limiter leur nombre et projeter là où l’accessibilité se fait déjà.

·         De la relation entre nos secteurs qu’il faut améliorer.

v  DU BATI :

·         Du grand nombre de logements que nous  avons planifié. Nous allons nous appuyer sur le PLU pour connaitre le besoin en logement réel du secteur.

·         De la recherche de zones à bâtir dans le tissu existant et pas uniquement dans le champ.

·         De la zone artisanale que nous souhaitons mettre en place au nord, en relation avec les logements et le secteur agricole.

v  DES TRANSPORTS :

·         Du tramway que nous souhaitions mettre en place pour notamment desservir le secteur E3. La mise en place d’un tramway est coûteuse, de plus la zone est déjà desservie par un train. Il faut donc valoriser la multimodalité existante.

v  DU SECTEUR AGRICOLE :

·         De l’exploitation agricole qui devient anecdotique à cause de son échelle. On pourrait envisager d’y mettre en place de l’agriculture vivrière. L’échelle de cette agriculture serait définie par le nombre de logements. La mise en place d’une telle agriculture pourrait créer de l’emploi et permettrait par exemple d’alimenter les cantines scolaires à moindre frais. Les jardins familiaux, éléments majeurs de l’identité du site, doivent être repensés dans cette nouvelle logique agricole.

·         De la question de l’identité du quartier. Nous sommes dans un quartier périphérique qui doit être traité de manière  différente qu’un grand centre de ville.

Groupe 1

    Lors de la première phase de travail, nous avons pu constater que la voie de chemin de fer, du fait de sa surélévation sur talus, crée un obstacle visuel et une véritable rupture entre le quartier du Neudorf et la ceinture verte qui le borde, tant pour les continuités paysagères que pour le développement urbain.

Les principaux enjeux que nous avions alors retenus pour cette phase de travail étaient donc de faire pénétrer la ceinture verte dans le quartier du Neudorf afin qu'il puisse se retourner vers elle et retrouver la richesse écologique et paysagère qu'elle constitue, et renforcer le développement vers le Sud en s'appuyant notamment sur le réseau viaire préexistant.

Notre schéma d'aménagement portait donc principalement sur les transitions entre le Neudorf et la ceinture verte en rendant la voie ferrée plus perméable.

 

Pour cette seconde phase, il nous a été conseillé de travailler en termes de séquences et d'approfondir celles que nous avions pu définir auparavant. Nous avions, en effet, remarqué que la ceinture verte possède différentes identités en fonction du contexte urbain : ouverture sur le grand paysage, rapport à l'eau, équipements sportifs, jardins familiaux, intimité plus ou moins importante … Ainsi, il serait intéressant d'accentuer ces différentes entités où la question des perméabilités visuelles à travers la voie ferrée serait plus ou moins importante.

Cette vision de différentes séquences nous permettrait d'avoir une certaine diversité dans notre travail mais également une continuité et une unité.

D'une manière générale, nous avons observé que les transitions entre les séquences de la ceinture verte se faisaient au niveau des traversées de la voie ferré par le réseau viaire, notamment lorsqu'il s'agit de voies historiques.

De plus, deux logiques d'intervention semblent se détacher : l'une de l'ordre de l'urbanisation au niveau du site Heppner et de

la Musau

et l'autre, de l'aménagement aux autres endroits le long de la ceinture verte (promenades …)

Or, ce secteur à urbaniser à

la Musau

, également identifié comme tel sur le plan d'occupation des sols, où se situent pour le moment des jardins familiaux, parait contradictoire avec notre idée de continuité et de renforcement de la ceinture verte. Dès lors, pourquoi ne pas proposer une cité-jardin ?

D'autre part, en ce qui concerne le site Heppner qui avait tout particulièrement retenu note attention lors de la première phase, nous avions émis l'idée de mettre la voie ferrée sur pilotis afin d'ouvrir ce secteur sur le grand paysage. Cette hypothèse est à remettre en question avec le passage du TGV.

La SNCF

ne risque-t-elle pas de clôturer la ligne de chemin de fer ? En outre, nous devons nous repencher sur le statut de la ceinture verte sur cette section. Quelles sont ses qualités ? Pourquoi faire le choix de donner au quartier des percées visuelles à cet endroit ? Toutefois, l'ouverture de ce site sur les paysages de la ceinture verte lui offrirait une respiration et nous permettrait de l'urbaniser avec une forte densité. Enfin, une autre donnée à prendre d'avantage en compte, le passage de l'autoroute au Nord du secteur. Nous avons abordé le fait de la requalifier en boulevard en étant vigilant en ce qui concerne ses franchissements Nord-Sud, du fait des dénivelés.

 

Ainsi, tout en gardant une continuité sur l'ensemble de la ceinture verte et cette idée de séquences, nous sommes arrivés à la définition de différents sous-secteurs (celle-ci restant, bien entendu, à être plus affinée) : Heyritz, Schlutfeld (site Heppner),

la Musau

et la cité Ampère.

Compte-rendu de la séance du 09/05/08

Nous avons, lors de cette séance, recadré le travail au niveau de nos sous-secteurs, qui étaient trop grands et qu’il convenait de redéfinir clairement. D’autre part, le schéma d’aménagement global doit être complété et défini de manière clair, car il représente une étape essentielle entre le diagnostic et le projet à l’échelle des sous-secteurs. C’est d’ailleurs ce qui a pu nous être reproché pendant le jury du premier rendu.

Ainsi, nous avons abouti à la création de deux sous-secteurs importants, divisés eux-même en deux parties, afin de permettre à chacune de nous d’approfondir nos recherches et nos projets. Certes, les thématiques sont parfois différentes, mais nous souhaitons intégrer chacun de nos projets dans une logique cohérente que nous devons, comme dit précédemment, faire apparaître de manière plus claire sur le plan d’aménagement global.

Enfin, selon chacun des sous-secteurs, préciser nos références parait important.

compte rendu du 9 mai, groupe 3

DE LA PHASE 1 A LA PHASE 2 :

Présentation de nos trois thèmes de travail et de nos quatre sous-secteurs. Il en ressort plusieurs conclusions.

Afin d’étayer la suite de notre travail dans la deuxième phase, il est nécessaire d’établir un schéma directeur précis décrivant nos orientations à l’échelle du secteur en établissant des priorités et en mettant en place un phasage dans le projet urbain, en rapport avec nos thèmes de réflexion. Celui-ci doit être cohérent avec notre travail personnel sur les sous-secteurs et adaptable pour éviter les plans masse figés. Ce schéma nous permettra de poser les grandes lignes de notre projet et guidera le travail sur chaque sous-secteur.

Réflexion autour de la poche :

Justifier la préservation de l’espace agricole.

Dans une logique de ville durable et dense, quel nombre d’habitants pourrait elle accueillir ? bon potentiel de desserte etc…

devenir une continuité d’espaces naturels, mieux relier ces espaces de qualité entre eux

Une nouvelle visite sur le site s’impose afin de fabriquer une carte de potentialité du sous secteur. Le travail à venir se concentrera sur l’espace public (défini par la hauteur des bâtiments, le réseau viaire, limites) pour un maximum d’exigences sur la qualité de celui-ci et un minimum de contrainte sur l’espace privé.

Prendre le temps de nous interroger sur qu’est-ce que la ville pour nous ? Essayer de se demander où l’on est bien et analyser le pourquoi. Rechercher peut être encore quelques références de projets urbains.

Compte-rendu de la présentation du 2 mai 2008

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La présentation orale nous a permis de considérer l’ensemble de notre travail, depuis l’analyse du site jusqu’à la formalisation de nos idées. La préparation de cet exposé a été l’occasion de faire une synthèse de ce que nous avions produit au fil des séances de travail. Nous nous sommes efforcés de faire les choix les plus pertinents dans les documents que nous avions réalisés afin de communiquer au mieux nos intentions quant au site du Baggersee.

Les principales orientations pour l’ensemble du site avaient été arrêtées lors de la séance du 11 avril.

Entre cette dernière correction et l’oral du 2 mai, le travail sur les sous-secteurs a pris forme, des précisions ont été apportées.

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            Plusieurs critiques nous ont été faites après l’exposé (jury 2, matin) :

·         Précision du vocabulaire (boulevard urbain, requalification, revalorisation…)

·         Importance de l’enjeu lié à la transformation de l’autoroute en boulevard

            D’autre part le jury a noté :

·         L’inscription de notre projet à l’échelle de la CUS

·         La cohérence des propositions sur l’ensemble du site

compte rendu du 09-05-08 groupe 21

• A propos du secteur :

-Requalification de la route départementale, dédiée aux modes de transports doux ; en contrebas, l’ancienne voie cyclable reconvertie en voie piétonne.

-Souhait de limiter l’urbanisation, conserver les terrains agricoles.

-La « poche » végétale accueillerait une zone de loisirs (pelouses, bancs, sentiers de promenade…) en harmonie avec les jardins familiaux. Sentiers transversaux dans l’axe nord sud.

-Epaissir la route de Brumath, la densifier

-Valoriser la route de Brumath car c’est une réelle entrée de ville.

-Réaliser une stratification de l’espace construit du sud au nord, jusqu’à l’espace agricole.

• A propos des sous-secteurs :

Redéfinition de nos sous-secteurs.

-Un sous-secteur plus au sud à Schiltigheim, intégrant les infrastructures comme le club de tennis, la piscine… Donner une identité forte à ce quartier des années 60 (barres…), qui est l’extension de la ville contemporaine de Schiltigheim.

-Un autre sous-secteur au sud à Bischheim, sur lequel un projet de densification serait mis en œuvre (habitats collectifs de type R+4, avec pour certain des petits commerces de proximités en RDC. ) Valorisation du cimetière, création de rues. Poursuivre la mixité de Bischheim. Création d’un arrêt tram-train pour valoriser les connections avec le centre-ville strasbourgeois.

-Un sous-secteur au nord sur la route de Brumath, pour instaurer une mixité qui fait défaut. Beaucoup de concessionnaires, d’entreprises diverses, mais manque d’habitations et de petits commerces. Requalification de la voierie ; faire de la route une RUE !

-un sous-secteur sur Hoenheim gare et le sud-est de Souffelweyersheim. Travail sur les relations est-ouest, le grand paysage et l’intermodalité. Redensifier autour de la gare, car c’est un pôle stratégique, qui manque de mixité. Conservation des jardins familiaux.

 

 

compte rendu du 09 - 05 - 2008

Groupe 2 : ANXIONNAT Bénédicte, LAURENT Jérémy, MOSER Aurélie, THILLE Grégoire

Compte rendu du 09.05.2008

Correcteur : Philippe TONDON

Secteur choisi : HOENHEIM / BISCHHEIM / SCHILTIGHEIM

Pour l’ensemble :

Mettre en place des arguments pour la densité et la durabilité de la ville

Le projet :

la VLIO

comme 2eme ceinture périurbaine après la ceinture des forts : une nouvelle limite à l’urbanisation tout en conservant une interpénétration entre urbanisation et paysage

Pour comprendre les enjeux des sous-secteurs : refaire un schéma directeur plus précis, plus clair en établissant une carte de mutabilité. Conserver une cohérence entre les différents sous-secteurs.

Pour chaque sous-secteur, définir quelles sont les priorités, lesquelles sont fixes et lesquelles peuvent s’adapter.

Le déclassement de l’autoroute : peut-être un boulevard avec d’un côté une urbanisation dense et de l’autre : un paysage : Elle serait une limite à l’urbanisation sur la partie ouest. En exemple, les boulevards en front de mer qui font corniche. Ou alors une seule rangée de bâtiments très hauts ferait front sur la rue, et donnerait à voir le paysage, loin, sur les Vosges et

la Forêt Noire

L’espace agricole : le conserver. Nécessité de densifier ailleurs, de façon plus importante. L’espace agricole doit être mis davantage en relation avec les autres espaces paysagers naturels : le valoriser. Les pistes cyclables viennent encercler l’espace agricole, et le traversent très peu, pour créer des limites douces mais aussi relier les différents quartiers entre eux.

Les secteurs :

Veiller à la mixité dans les quartiers : m ais attention, les commerces ne fonctionnent que là où il y a du passage.

Réinventer une forme traditionnelle : pas impossible mais difficile ! La richesse actuelle est générée par les activités tertiaires, les services.

Viser les PRIORITES sur chaque sous-secteur pour pouvoir faire un zoom par la suite et les approfondir. Faire une distinction entre ces espaces à aménager en priorité et de façon fixe, avec des espaces où l’aménagement peut s’adapter selon les demandes, les nécessités, la situation économique ou sociale.

Pour la semaine prochaine :

-Refaire un schéma d’aménagement plus clair, qui part du tout premier schéma, et explicite les déplacements, transports, centralités.

- Etablir une carte de mutabilité de la ville : renouvellement sur elle-même, penser économie : terrains disponibles dans la ville elle-même et avec quels potentiels ?

- Pour les espaces publics, les dessiner avec un maximum d’exigences, ils peuvent rester simples.

- Aménagements des différents sous-secteurs toujours dans une logique de cohérence à l’échelle du secteur, et de la ville.

compte rendu du 09 - 05 - 2008

Groupe 2 : ANXIONNAT Bénédicte, LAURENT Jérémy, MOSER Aurélie, THILLE Grégoire

Compte rendu du 09.05.2008

Correcteur : Philippe TONDON

Secteur choisi : HOENHEIM / BISCHHEIM / SCHILTIGHEIM

Pour l’ensemble :

Mettre en place des arguments pour la densité et la durabilité de la ville

Le projet :

la VLIO

comme 2eme ceinture périurbaine après la ceinture des forts : une nouvelle limite à l’urbanisation tout en conservant une interpénétration entre urbanisation et paysage

Pour comprendre les enjeux des sous-secteurs : refaire un schéma directeur plus précis, plus clair en établissant une carte de mutabilité. Conserver une cohérence entre les différents sous-secteurs.

Pour chaque sous-secteur, définir quelles sont les priorités, lesquelles sont fixes et lesquelles peuvent s’adapter.

Le déclassement de l’autoroute : peut-être un boulevard avec d’un côté une urbanisation dense et de l’autre : un paysage : Elle serait une limite à l’urbanisation sur la partie ouest. En exemple, les boulevards en front de mer qui font corniche. Ou alors une seule rangée de bâtiments très hauts ferait front sur la rue, et donnerait à voir le paysage, loin, sur les Vosges et

la Forêt Noire

L’espace agricole : le conserver. Nécessité de densifier ailleurs, de façon plus importante. L’espace agricole doit être mis davantage en relation avec les autres espaces paysagers naturels : le valoriser. Les pistes cyclables viennent encercler l’espace agricole, et le traversent très peu, pour créer des limites douces mais aussi relier les différents quartiers entre eux.

Les secteurs :

Veiller à la mixité dans les quartiers : m ais attention, les commerces ne fonctionnent que là où il y a du passage.

Réinventer une forme traditionnelle : pas impossible mais difficile ! La richesse actuelle est générée par les activités tertiaires, les services.

Viser les PRIORITES sur chaque sous-secteur pour pouvoir faire un zoom par la suite et les approfondir. Faire une distinction entre ces espaces à aménager en priorité et de façon fixe, avec des espaces où l’aménagement peut s’adapter selon les demandes, les nécessités, la situation économique ou sociale.

Pour la semaine prochaine :

-Refaire un schéma d’aménagement plus clair, qui part du tout premier schéma, et explicite les déplacements, transports, centralités.

- Etablir une carte de mutabilité de la ville : renouvellement sur elle-même, penser économie : terrains disponibles dans la ville elle-même et avec quels potentiels ?

- Pour les espaces publics, les dessiner avec un maximum d’exigences, ils peuvent rester simples.

- Aménagements des différents sous-secteurs toujours dans une logique de cohérence à l’échelle du secteur, et de la ville.

Compte-rendu de la séance du 11/04/08

L’affichage de l’ensemble des documents de travail réalisés sur calque nous a permis de clarifier certaines étapes du projet. Mais cette séance nous a avant tout obligés à expliciter notre propre vision de la ville. Nous nous sommes aperçus de l’importance d’affirmer notre idée de la ville pour pouvoir proposer un projet cohérent.

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EXPLICITER…

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            Lors de cette séance nous avons énoncé plusieurs grandes idées qui nous permettrons de structurer notre propos sur le Baggersee.

Densification le long de l’axe historique de la Route des Vins (Av. de Colmar), dans une logique « traditionnelle » de développement des villes.

Création d’un lieu, là où il n’y a qu’un carrefour (av. de Colmar-D468).

Proposer du logement.

Reconversion du quartier industriel de la Plaine des Bouchers en quartier multifonctionnel combinant habitat et activités.

Renforcement de la trame paysagère est-ouest : alternance de bâti et d’espaces naturels.

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FORMALISER…

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Pour cette séance nous avions réalisé trois cartes majeures : la première était un état des lieux du Baggersee, la deuxième une première phase de projet, la troisième une vision à plus long terme du développement possible du quartier.

Lors de la correction nous avons compris que notre vision à plus long terme du Baggersee est l’ambition la plus crédible, bien qu’au début elle nous soit apparue un peu « folle ». En effet ce projet à plus long terme tient compte des observations que nous avons faites de manière globale sur le Baggersee (mono-fonctionnalité, réseau viaire incohérent, présence d’axes historiques, encombrement du carrefour av. de Colmar-D468, densité faible).

Ainsi, notre volonté de travailler sur la Plaine des Bouchers ne s’expliquait réellement que par la transformation de l’autoroute en boulevard, que nous n’avions prévue qu’à la deuxième phase de développement. De la même manière, la constitution d’une place sur le carrefour av. de Colmar-D468 ne trouvait son sens que dans la disparition totale de l’hypermarché.

Conscient que « tout ne se ferait pas en un jour », nous avons compris qu’il est nécessaire d’expliquer notre projet sur le Baggersee de manière globale, afin que toutes les transformations que nous voudrions apporter trouvent leur sens les unes par rapport aux autres.

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Il nous faut donc produire des documents qui rendent compte de la cohérence du projet sur l’ensemble du territoire considéré.

Compte Rendu de la Séance du 11.IV.2008

La dernière séance nous a permis de nous rendre compte de certaines lacunes dans notre travail. Il nous est en fait apparu que nous avions trop avancé dans les propositions d’aménagement, plus attribuées à la phase 2, alors que la phase d’analyse et les enjeux n’étaient pas encore bien définis.

Une fois encore, nous n’avons pas su nous concentrer uniquement sur une étape de réflexion à la fois. Il aurait été en fait judicieux de mettre nos idées sur papier, afin de dégager de nos observations et de ce qui nous a motivé à choisir le Neudorf (ceinture verte, enjeux d’enclavement), les enjeux réellement pertinents que ce soit à l’échelle de la CUS ou à l’échelle du secteur. Il est également nécessaire que nos enjeux pour le secteur soient cohérents avec les orientations du projet d’aménagement et de développement durable défendues par la CUS.

Concernant nos motivations dans le choix du site, il convient de dégager un titre, une problématique, montrant notre intérêt pour le quartier, ainsi qu’une amorce des enjeux qui nous semblent essentiels au projet. Nous nous sommes d’abord mis d’accord sur « La ceinture verte, interface urbaine », puis sur « Vers une meilleure qualité de vie…Une ville homogène dans sa diversité ». Ces titres expriment notre ambition de créer des connexions entre le secteur du Neudorf et les quartiers qui l’entourent par le biais d’une ceinture verte revalorisée, retrouvée. Il s’agit en fait d’un travail sur les limites.

Il nous faut créer des polarités, redonner à la ceinture verte une vraie consistance d’espace vert, valoriser les cours d’eau,… pour répondre à notre problématique. Pour répondre à la question des limites du secteur, il nous faut également considérer l’axe majeur Est-Ouest, élément structurant au même titre que la ceinture verte, posant les enjeux liés au rayonnement de la ville à l’échelle régionale, rhénane et européenne, et des pôles de développement.

D’autre part, d’autres éléments structurants déterminés à l’échelle de la CUS entrent en ligne de compte à l’échelle du secteur : les centralités de quartier et le logement.

Tous ces éléments structurants déterminent les enjeux du projet de la CUS et a fortiori ceux de notre secteur.

Lors de la dernière séance, nous avons également pu avancer sur les réponses aux problématiques, les objectifs et les moyens d’action aux différentes échelles du secteur et des sous-secteurs, avec pour certains sous-secteurs un avancement proche de la phase 2. Cependant, nos sous-secteurs sont clairement identifiés, en accord avec les lignes directrices que nous nous sommes fixées et que l’on retrouve avec la CUS, le SCOTER et la région, avec des objectifs cohérents à l’ensemble du secteur, et certains objectifs bien spécifiques aux sous-secteurs.

Compte rendu séance 11.04.08

Cette séance nous a permis de comprendre qu’il fallait renforcer notre philosophie générale autour d’une thématique clairement identifiée. Après un bref retour sur les cartes que nous avons réalisées aux échelles plus globales, nous nous sommes attardées sur le travail au niveau du secteur et des sous-secteurs, dans le cadre du quartier du Neudorf. Dans un premier temps, le projet au niveau du secteur doit être reprécisé, en approfondissant les termes utilisés pour le développement de nos intentions. Par exemple, la volonté de redonner une certaine cohérence aux îlots situés au « centre » doit se traduire par un renouvellement du quartier sur lui-même, en rapport avec les conditions que le projet urbain peut développer. D’autre part, il faut qu’on mette en valeur de manière plus importante le fait que notre projet s’oriente sur la continuité de la ceinture verte. Certes, si elle n’est pas physique, il faut qu’on la comprenne dans chacune des parties du quartier et qu’on puisse clairement l’identifier. D’autre part, nous voulons qu’elle soit lisible depuis chacun des côtés de la voie ferrée, du talus, pour créer une continuité qui intègre le talus au paysage, au lieu de le renier.

Ensuite, au niveau des sous-secteurs, nous avons mis en valeur trois zones qui nous semblaient importantes dans l’objectif de la revalorisation de cet espace « non-aedificandi » qu’était la ceinture verte. D’une part, la zone du terrain Heppner constitue à notre sens un enjeu en terme de présence végétale, mais qu’il faudrait établir en relation avec le bâti qu’on pourrait y installer. Il ne s’agit en effet pas de créer de « grands parcs » partout dans le quartier, mais d’installer une continuité végétale qui peut être représenté par de micro-espaces de qualité.

Un autre secteur qui nous semble important à approfondir est le quartier de la Musau, qui présente des enjeux de désenclavement forts, inscrits dans les problématiques développées aujourd’hui à l’échelle du pays. Il nous faut travailler sur ce quartier en terme d’intermodalité, de déplacements, mais aussi d’identité du quartier à renforcer et à valoriser. La zone de captage d’eau étant sous périmètre de protection, il nous faut l’intégrer de manière plus fine que la mise en place d’un simple grillage. Ses limites peuvent devenir une prolongation de l’écrin végétal que nous souhaitons renforcer.

Enfin, le secteur en bordure du Rhin est un enjeu fort en terme de liens entre le quartier, le parc de la Citadelle et le centre, et, à échelle temporelle plus vaste, au dynamisme qui pourrait être dégagé des zones portuaires (zones de mixités fonctionnelles, mêlant habitat, tertiaire,…).

Ainsi, pour le rendu définitif, nous devons préciser et mettre en valeur sur nos cartes ces grands enjeux, sans pour autant empiéter sur la deuxième phase. Il nous faut trouver cet équilibre, et réussir, grâce au travail sur les sous-quartiers, à créer une transition entre les deux phases de ce travail.

Compte-rendu du 11/04/08, groupe 5

Site Baggersee

   

Correction

Notre correction s’est concentrée autour des exemples de planches produites. Nous avons présenté nos cartes, pour en déduire les enjeux d’un tel projet. En fin de séance, nous avons discuté des différentes possibilités de découpage en sous-secteurs pertinents pour la suite de l’étude.

Suite à la conversation, nous avons tirés trois enjeux de développement du secteur du Baggersee : créer une armature paysagère est-ouest, relier les deux communes qui se tournent le dos, et lutter contre les diversités fragmentées.

Feuille de route

-dessiner une coupe de la frange d’illkirch.

-refaire une carte claire des concepts

-réfléchir aux enjeux entre campagne et urbain

-préciser les qualités attendues dans les secteurs

-raconter les enjeux de liaisons particulières

-refaire le maillage

-travailler sur la silhouette du bâti

-travailler avec l’existant

-dessiner des coupes est-ouest et nord-sud de l’existant et du futur aménagement

Compte-rendu du 11/04/08, groupe 5

Site Baggersee

   

Correction

Notre correction s’est concentrée autour des exemples de planches produites. Nous avons présenté nos cartes, pour en déduire les enjeux d’un tel projet. En fin de séance, nous avons discuté des différentes possibilités de découpage en sous-secteurs pertinents pour la suite de l’étude.

Suite à la conversation, nous avons tirés trois enjeux de développement du secteur du Baggersee : créer une armature paysagère est-ouest, relier les deux communes qui se tournent le dos, et lutter contre les diversités fragmentées.

Feuille de route

-dessiner une coupe de la frange d’illkirch.

-refaire une carte claire des concepts

-réfléchir aux enjeux entre campagne et urbain

-préciser les qualités attendues dans les secteurs

-raconter les enjeux de liaisons particulières

-refaire le maillage

-travailler sur la silhouette du bâti

-travailler avec l’existant

-dessiner des coupes est-ouest et nord-sud de l’existant et du futur aménagement

Compte-rendu de la séance du 11/04/08

Suite à la correction, il apparaît que la phase d’analyse est bien avancée et ne demande que quelques aménagements afin de rendre au mieux les points importants et pour embrayer sur le projet. Nous devons adopter un point de vue plus critique et commencer à prendre parti dès cette première phase. Cela passe par une meilleure mise en relation des différentes entités à l’échelle du quartier ou encore d’utiliser les  « défauts de carte » comme des révélateurs de coupure. Nous nous sommes aussi décidés entre ce qui serait dit et ce qui serait montré.

La phase de projet s’est affinée, dans les idées comme dans la représentation. Nous devrions être plus directs dans certaines cartes, beaucoup plus explicites. Les sous secteurs ont été ainsi redéfinis en fonction des indications apportées par la correction, avec la place importante d’un tram-train, plus cadencé que le train présent :

·         La zone des ateliers SNCF ; ce secteur demande de faire attention au phasage de chaque opération, avec une activité qui reste présente. Cela serait à mettre en relation avec l’arrivée de la VLIO.

·         L’entrée de ville à l’Ouest et la sortie d’autoroute ;  l’axe principal reliant la zone commerciale à Strasbourg devra être requalifié. Cette zone tampon est une entrée de ville et devra être traitée comme tel. Des percées sur l’espace naturel peuvent être envisagée et les limites sont à retravaillées.

·         Le nœud Sud et l’entrée dans Strasbourg ; dans l’optique du déclassement de l’autoroute, l’entrée dans ce secteur Nord devrait être revue. Cet espace serait un endroit de transition plus qu’une centralité mais demande à être travaillé.

·         Le parking-relai de Zaha Hadid et la zone de loisir ; l’activité touristique déjà présente ici pourrait être renforcée et mieux desservie. Ce sous-secteur porte plusieurs enjeux, ceinture verte, limite, micro-centralité.

Tous ces secteurs doivent répondre aux enjeux principaux tels que la question de la limite, la réversibilité ou encore les problèmes de déplacements. Dans ce contexte, le tram-train sert un peu de fil rouge pour les différents sous-secteurs.

Compte rendu de la séance du 11/04

 L’état d’avancement des cartes d’analyses est satisfaisant : poursuivre dans cette voie (vision d’ensemble, homogénéité, pertinence). Quelques précisions restent cependant à apporter à l’ensemble et une homogénéisation des couleurs est prévue.

 En ce qui concerne le projet, nous avons pu discuter du vocabulaire (attention à la différence entre phase, priorité, urgence, hiérarchisation) ; il peut guider les choix du projet.
Il faudra également prévoir un schéma d’intentions avant de présenter les cartes même de projet. Attention à ne pas se focaliser uniquement sur la restructuration de la départementale et sur le Baggersee. L’axe Est-Ouest n’est-il pas multiple ? Ne traverse-t-il pas la forêt Rhénane ?  

Les sous-secteurs restent à définir, la première esquisse de projet n’étant pas assez étendue.   

Compte rendu du 11/04 Groupe 3

Observations :

Après présentation des différents documents, nous nous sommes mis d’accord sur la nécessité de revoir certaines cartes (pertinence des couleurs, typologie des légendes,…) en vue du rendu final.
Nous avons également défini plus clairement les sous secteurs que nous traiterons.

Ils seront :

Sous-Secteur 1 : 

Zone d’activité de Brumath, A4, le lien avec Souffelweyersheim et l’espace agricole adjacent

Sous-Secteur 2 : 

quartier E3 avec la VLIO, entrée de la ville, une partie de la « poche », la cité des Ecrivains

Sous-Secteur 3 : 

Gare de Bischheim, la reconversion de la brasserie, une partie de la « poche »

Sous-Secteur 4 : 

le terminus du tramway de Zaha Haadid, les étangs et la zone d’activité de la Vogelau.

Objectifs :
Pour ces quatre sous-secteurs, nous devons répondre à des problématiques qui leur sont propres :

Secteur 1 :
-quels aménagements sont possibles dans le cadre de la reconversion de la zone d’activité de Brumath, après la déclassification de l’A4 ?
-quel lien avec Souffelweyersheim ? tout en gardant l’autonomie de la ville
-Comment utiliser l’espace vert majeur de l’espace agricole? Requalification des limites, et étalement de l’espace vert

Secteur 2 :

-Comment aménager une entrée dans la ville par la VLIO ? Quel impact sur l’entrée de la ville, comment gérer cette entrée
-E3 : une issue au strictement tertiaire ? Tout en gardant sa qualité paysagère
-la cité des Ecrivains : revaloriser les logements en accentuant le lien avec l’espace agricole ?

Secteur 3 :
-quel avenir pour la brasserie désaffectée ? Logement, espace culturel… en cohérence avec l'équilibre des équipements
-Quel lien avec la "poche" d’espace vert, réparer les limites

- Comment revaloriser la gare de Bischheim, accessibilité, pertinence de sa localisation, rapport avec la l’espace agricole

Secteur 4 :
-Quel avenir pour la gare d’Hoenheim ?comment faire de cette zone une centralité attractive et non un simple nœud . Zone à densifier
-Quel avenir pour les étangs et la zone d’activité de la Vogelau ?

compte-rendu du 11/04/08

groupe 10 (DAVINI Marion, GERARD Emeline, LETRUD Ingrid, LEVE Damien)

Discussion/correction:

   

Notre correction s’est concentrée autour des exemples de planches produites. Nous avons présenté ces planches dans un objectif de rendu, c’est-à-dire en essayant de synthétiser, de respecter le temps qui sera à notre disposition le jour de la présentation orale. Nous avons ensuite consulté les planches à nouveau afin de lister les points positifs et négatifs et de se mettre d’accord sur les modifications à apporter. En fin de séance, nous avons discuté des différentes possibilités de découpage en sous-secteurs pertinents pour la suite de l’étude. 

   

_ Strasbourg, une ville au cœur de l’ Europe

Nous avons situé Strasbourg dans une échelle européenne afin d’ étudier sa place et son influence : influence de la géographie sur l’implantation des villes et relation entre elles (réseaux routiers, ferroviaires…). Nous remarquons surtout le rôle important que joue Strasbourg en tant que porte d’entrée sur le territoire Français.

_ Strasbourg dans sa région

La carte présente l’agglomération au cœur de l’Alsace-Vosges, mettant l’accent sur l’aspect transfrontalier de la ville, tant au niveau de sa position géographique que de ses relations administratives avec les villes voisines (en France comme an Allemagne : Eurodistrict…). De plus, elle permet d’analyser les éléments créant des frontières marquées dans le paysage : les hautes Vosges et le Rhin entre autres.   

   

_ Strasbourg, à l’échelle de la C.U.S.

A cette échelle, il nous a semblé pertinents de mettre en avant les éléments forts permettant de justifier le choix du secteur Nord pour l’étude demandée ensuite. Ainsi apparaissent les grandes infrastructures (réseaux de transports existants et en projet), les ceintures vertes qui entourent le site à préserver et mettre en valeur, ainsi que les grands équipements situés au centre de l’agglomération qui génèrent une attractivité forte.

 

_ Secteur Nord, cartes thématiques

Composantes paysagères : Nous avons inventorié les différents éléments paysagers rencontrés sur le site afin de mettre en évidence l’importance de la végétation au niveau du secteur Nord, et du statut de « respiration » qui peut lui être attribué. Il paraît important de montrer les interpénétrations entre les espaces végétaux et le bâti afin de mettre en valeur la richesse paysagère du site, notamment agricole. De plus, les espaces publics ont une grande importance car ils sont peu nombreux et doivent donc être valorisés . Un autre point a attiré notre attention : par le caractère relativement plat du site, les points hauts (clochers, cheminées des brasseries) présentent un intérêt non négligeable.

Histoire : La compréhension de la formation du site autour des axes anciens commerçants (et convergents vers le centre de Strasbourg) où se sont implantés les villages nous a permis d’émettre des hypothèses de travail autour des centralités permettant de donner un nouvel équilibre au site.

Equipements et types de bâti  : Nous avons voulu ici mettre en évidence les interactions entre différentes composantes du site : les types de bâti et les équipements présents notamment. Cela nous permet d’appuyer sur l’enjeu des centralités, par la cohérence entre les regroupements d’équipements et les noyaux villageois.

Infrastructures : Après l’analyse des réseaux de transports existants, il semble important de mettre en évidence les interconnections entre les différents modes et d’appuyer sur le tracé du tramway qui est d’une grande importance. De plus, certains liens doivent être mis en valeur.

_ Les schémas d’aménagement

Les points soulevés lors de la première phase de projet doivent être approfondis :

     -         L’importance du paysage sera mis en valeur par la création d’un lien entre les deux ceintures vertes entourant le site. De plus, la « poche » deviendra un élément fort du paysage grâce à la possibilité de la traversée et aux liaisons avec les centralités crées. Une limite définie devra la signifier avec différents éléments de loisirs, différents types de bâti (relations entre les grands ensembles et le paysage)…

-      Des questions se posent également sur les infrastructures présentes : l’importante coupure crée par l’autoroute est remise en cause : pour envisager la densification des secteurs d’activités au Nord, il faut peut être imaginer sa transformation en boulevard urbain par exemple. De plus, les réseaux de transport en commun et de déplacements doux ne sont pas reliés.

-      Notre attention s’est surtout portée sur les noyaux villageois : la question de la création d’ autres centralités en écho à celle-ci est étudiée afin de redonner une homogénéité au site.

 

   

Poursuite du travail

   

De cette séance, nous retenons certains éléments à modifier ou compléter :

-         Atteindre un niveau de détail supérieur au niveau du projet : les schémas d‘aménagement doivent présentés un caractère moins schématique et proposer des aménagements plus précis.

-         Il nous faudra trouver des titres « plus accrocheurs », dans un  souci d’efficacité de communication.

-         Les cartes où sont mis en avant les points forts et les points faibles du site seront intégrées au rendu .

-         La notion de vitesse servira notamment à comparer les voiries et les différents mode de déplacement afin de créer un équilibre de ceux-ci sur le site. 

-         Les références et différents exemples seront mis en valeur avec certains points particuliers sur lesquels s’appuyer pour l’élaboration du projet.

-         Trouver un schéma d’aménagement général, un principe à gérer en commun au sein du groupe, et le détailler.

     -   Définir précisément les sous-secteurs choisis et les étudier dans un souci de détail permettant de bien préparer la seconde phase de travail.   

compte-rendu du 11/04/08

groupe 10 (DAVINI Marion, GERARD Emeline, LETRUD Ingrid, LEVE Damien)

Discussion/correction:

   

Notre correction s’est concentrée autour des exemples de planches produites. Nous avons présenté ces planches dans un objectif de rendu, c’est-à-dire en essayant de synthétiser, de respecter le temps qui sera à notre disposition le jour de la présentation orale. Nous avons ensuite consulté les planches à nouveau afin de lister les points positifs et négatifs et de se mettre d’accord sur les modifications à apporter. En fin de séance, nous avons discuté des différentes possibilités de découpage en sous-secteurs pertinents pour la suite de l’étude. 

   

_ Strasbourg, une ville au cœur de l’ Europe

Nous avons situé Strasbourg dans une échelle européenne afin d’ étudier sa place et son influence : influence de la géographie sur l’implantation des villes et relation entre elles (réseaux routiers, ferroviaires…). Nous remarquons surtout le rôle important que joue Strasbourg en tant que porte d’entrée sur le territoire Français.

_ Strasbourg dans sa région

La carte présente l’agglomération au cœur de l’Alsace-Vosges, mettant l’accent sur l’aspect transfrontalier de la ville, tant au niveau de sa position géographique que de ses relations administratives avec les villes voisines (en France comme an Allemagne : Eurodistrict…). De plus, elle permet d’analyser les éléments créant des frontières marquées dans le paysage : les hautes Vosges et le Rhin entre autres.   

   

_ Strasbourg, à l’échelle de la C.U.S.

A cette échelle, il nous a semblé pertinents de mettre en avant les éléments forts permettant de justifier le choix du secteur Nord pour l’étude demandée ensuite. Ainsi apparaissent les grandes infrastructures (réseaux de transports existants et en projet), les ceintures vertes qui entourent le site à préserver et mettre en valeur, ainsi que les grands équipements situés au centre de l’agglomération qui génèrent une attractivité forte.

 

_ Secteur Nord, cartes thématiques

Composantes paysagères : Nous avons inventorié les différents éléments paysagers rencontrés sur le site afin de mettre en évidence l’importance de la végétation au niveau du secteur Nord, et du statut de « respiration » qui peut lui être attribué. Il paraît important de montrer les interpénétrations entre les espaces végétaux et le bâti afin de mettre en valeur la richesse paysagère du site, notamment agricole. De plus, les espaces publics ont une grande importance car ils sont peu nombreux et doivent donc être valorisés . Un autre point a attiré notre attention : par le caractère relativement plat du site, les points hauts (clochers, cheminées des brasseries) présentent un intérêt non négligeable.

Histoire : La compréhension de la formation du site autour des axes anciens commerçants (et convergents vers le centre de Strasbourg) où se sont implantés les villages nous a permis d’émettre des hypothèses de travail autour des centralités permettant de donner un nouvel équilibre au site.

Equipements et types de bâti  : Nous avons voulu ici mettre en évidence les interactions entre différentes composantes du site : les types de bâti et les équipements présents notamment. Cela nous permet d’appuyer sur l’enjeu des centralités, par la cohérence entre les regroupements d’équipements et les noyaux villageois.

Infrastructures : Après l’analyse des réseaux de transports existants, il semble important de mettre en évidence les interconnections entre les différents modes et d’appuyer sur le tracé du tramway qui est d’une grande importance. De plus, certains liens doivent être mis en valeur.

_ Les schémas d’aménagement

Les points soulevés lors de la première phase de projet doivent être approfondis :

     -         L’importance du paysage sera mis en valeur par la création d’un lien entre les deux ceintures vertes entourant le site. De plus, la « poche » deviendra un élément fort du paysage grâce à la possibilité de la traversée et aux liaisons avec les centralités crées. Une limite définie devra la signifier avec différents éléments de loisirs, différents types de bâti (relations entre les grands ensembles et le paysage)…

-      Des questions se posent également sur les infrastructures présentes : l’importante coupure crée par l’autoroute est remise en cause : pour envisager la densification des secteurs d’activités au Nord, il faut peut être imaginer sa transformation en boulevard urbain par exemple. De plus, les réseaux de transport en commun et de déplacements doux ne sont pas reliés.

-      Notre attention s’est surtout portée sur les noyaux villageois : la question de la création d’ autres centralités en écho à celle-ci est étudiée afin de redonner une homogénéité au site.

 

   

Poursuite du travail

   

De cette séance, nous retenons certains éléments à modifier ou compléter :

-         Atteindre un niveau de détail supérieur au niveau du projet : les schémas d‘aménagement doivent présentés un caractère moins schématique et proposer des aménagements plus précis.

-         Il nous faudra trouver des titres « plus accrocheurs », dans un  souci d’efficacité de communication.

-         Les cartes où sont mis en avant les points forts et les points faibles du site seront intégrées au rendu .

-         La notion de vitesse servira notamment à comparer les voiries et les différents mode de déplacement afin de créer un équilibre de ceux-ci sur le site. 

-         Les références et différents exemples seront mis en valeur avec certains points particuliers sur lesquels s’appuyer pour l’élaboration du projet.

-         Trouver un schéma d’aménagement général, un principe à gérer en commun au sein du groupe, et le détailler.

-  Définir précisément les sous-secteurs choisis et les étudier dans un souci de détail permettant de bien préparer la seconde phase de travail.   

Compte rendu du 11/04 groupe 8

ANANLYSE : A finaliser

- Décortiquer les élèments du territoire puis les mettre en relation

- Mettre en relation les cartes à différentes échelles

PROJET :

Penser au plan d'aménagement global sans trop détailler. Définir les enjeux importants puis les priorités au travers du diagnostic. En découleront le phasages dans le temps.

- Comment gérer les points de passages et les franchissements?

- Qualification de l'espace public?