8 posts categorized "Séance du 30 avril"

27/05/2009

Groupe 5: Blareau/Colinet/Hiller/Perdereau

Compte rendu de la séance du 30 avril:

Le projet s’axe dans 3 grandes logiques existantes que l’on poursuit : l’ile qui restera sans habitat,  la zone de transition entre le centre ville et le boulevard de Trèves, et le secteur le long de la Moselle, où on continue la trame paysagère le long de l’eau et la bande d’équipements juste à l’arrière.  On n’invente pas de nouvelles logiques, on étend jusqu’à notre quartier celles qui existent au sein de la ville.

A l’issu de la correction il nous est apparut plusieurs grands axes à développer.

- l’entrée de ville au niveau du garage Renault, équipement à l’échelle urbaine qui présente un grand intérêt en tant que pôle urbain rattachable au centre ville, au nouveau quartier du Centre Pompidou, mais également aux quartiers du boulevard de Trèves, de Bellecroix ; et plus loin de Queuleu et Borny.

Même si l’on ne précise pas immédiatement la fonction de ce lieu, on sait qu’il a un important rôle a tenir au-delà des limites propres de notre secteur.

- Les trois grands secteurs de boulevard : le boulevard de Trèves à vocation plutôt patrimoniale, et sa continuité sur l’île de Chambière orientée sur le grand paysage de lîle ; et les boulevards de Pontifroy et Paixhans à la vocation très urbaine.

Tout d’abord il faut mesurer l’emprise au sol précise des différents boulevards pour savoir si l’on a la place de mettre les différents aménagements d’urbanisation, et travailler sur des coupes précises des solutions envisagées.

Au niveau du boulevard de Trèves, les enjeux principaux sont de rejoindre le réseau viaire du quartier de Bellecroix situé très en contrehaut, en créant des réseaux de chemins et d’escaliers dans les réhabilitations pour permettre la connexion avec la ville en se raccrochant à la trame urbaine avec la zone le long de la Seille.

L’autre enjeu se situe au niveau de la gestion du trafic qui n’a plus forcément de vocation étant donné qu’il est destiné à long terme à contourner la ville plutôt que de passer dans cet axe Nord/Sud qui coupe le site. Cela permettrait alors de récupérer les espaces aux niveaux des échangeurs, et de faciliter la traversée en réservant le boulevard aux transports en commun en site propre.

- La traversée de l’ile pose comme problème principal la gestion du talus et son franchissement pour accéder au parc.

- L’insertion de l’usine UEM au sein d’une trame verte qui s’étendrait tout le long de la Seille, pour continuer dans le réaménagement des casernes afin de séparer l’usine de l’habitat avant de rejoindre le grand paysage de l’ile de Chambière. On a alors la nature qui vient s’insérer jusqu’au cœur de la ville.

 

21/05/2009

GROUPE 16 Compte-rendu 30 avril 2009

 Boulevard de Trèves :

- un boulevard ne se résume pas qu'au dessin d'une rue mais aussi aux bâtiments qui la bordent : redonner un caractère urbain grâce à un front bâti cadrant la rue : il faut se sentir dans la ville

-L’installation du transport en commun sur le boulevard de Trève entraine la formation d’un pôle multimodal qui pourrait être le carrefour actuel qui accueille le concessionnaire automobile.

- L’emplacement de ce concessionnaire est un véritable enjeu urbain car LIEN avec la Gare,

(silo à voiture)

Bellecroix:

- besoin d'une centralité, d'une mixité de fonction et de typologie  de logement

-organiser la cohabitation des fonctions

-comment franchir la pente?

-relier le quartier Bellecroix avec le Boulevard de Trèves.

-Inciter les habitants de Bellecroix à «  sortir de chez eux » et de vivre le quartier, inciter les gens extérieurs à utiliser le quartier grâce à une nouvelle interactivité entre les équipements

-faciliter l’accès au quartier

-développer une meilleure continuité spatiale à l’échelle du secteur : qualification des vides, traitement des ruptures d’échelle, resserrement du maillage

-assurer la continuité des espaces publics dans leur traitement

Chambière / St Julien:

Chambière

-enjeu de bâtiments en lien avec le parc

-diversifier les points d’entrée au quartier

-idée de franchissement

-continuité berge-route

-question d'une fin de ville

 -grand territoire ne profitant à personne (chambière), diversité d’essences végétales, bois, ripilsyves

ZONE A PRESERVER

-concevoir un projet de continuité paysagère

-centre équestre qui pourrait dynamiser le quartier mais trop loin par rapport au centre du quartier

®-assurer la visibilité des éléments / centre équestre à rapprocher

-créer des espaces de rencontres multi générationnels / pôle multimodal avec centre culturel

®enjeu d’une entrée de ville         

Quartier St Julien

-pourrait se lire comme la continuité du centre ville mais pas de CONNEXION

-cinéma : attire énormément de monde donc engendre un fort trafic avenue de Bilda

-le cinéma peut être une solution de continuité entre le quartier et le territoire

®-créer un nouveau pôle de proximité pour assurer la liaison (cinéma, facteur d’attractivité)

Quartier Serre de Rivière:

enjeu LIEN entre fin de ville (chambière avec parc naturel) et Bellecroix « nouvelle ville » : établir la connexion

-respecter le site 

®créer une trame à partir d’un tracé existant « chaotique »

-casernes à conserver au maximum

-diversifier les espaces offerts : de l’intimité au privé, espaces végétales, minérales

-assurer la mixité fonctionnelle et sociale avec tranches d’âges différentes

-assurer la diversité des formes de bâti

 

Echelle quartier secteurs fin   

06/05/2009

GROUPE 1 : BALDI, CHERIEF, COLNAT, CREUSOT, DENG

Compte rendu séance 30/04/2009 :

Nos premières interrogations se portent sur les infrastructures importantes du projet, à savoir un débat autour de la ligne SNCF de Fret, et sur le tracé d’un éventuel TCSP.

La voie ferrée utilisée par le transport de marchandise, qui, en fait, relie la gare de Metz à la gare de Woippy, et traverse les communes du Ban Saint Martin par les bords de Moselle, et Devant les Ponts par une césure très nette dans le tissu du faubourg, nous semble inadaptée aux réalités urbaines actuelles et en devenir. Mr Vaxelaire nous avait indiqué la semaine passée l’idée à long terme de dévier la ligne de Fret par l’ouest de l’agglomération messine, et fort de ces enjeux, nous nous positionnons en faveur de la déviation des transports de marchandises (qui s’articulent à une toute autre échelle du territoire), tracé qui faudra essayer de représenter, et cette infrastructure serait alors reconvertie en Tram-train, permettant de desservir les communes de Woippy, Devant les Ponts, le Ban Saint Martin, Longueville, et Metz. De plus, cette ligne de transport interurbain permettrait de reconnecter le quartier difficile de la Pattrote, véritable enjeu social du secteur, par l’installation d’un arrêt, nouvelle centralité, ainsi que l’entrée de ville (commune du Ban Saint Martin) à la jonction du boulevard urbain projeté, de deux routes historique, de la Moselle, et d’un parc créé, accueillant l’ensemble des eux pluviales venant des coteaux.

Ainsi, il faut voir à long terme le potentiel généré par cette infrastructure, pouvant circuler au même niveau que la ville, d’où des connexions entre quartiers facilitées et une réorganisation de la ville au plus proche de cette nouvelle voie possible. Il s’agit entre autre, de redonner à ces quartiers des bâtiments militaires délaissés et de se réapproprier, dans des modes de déplacements plus doux cette « coulée verte » au bord de laquelle viendrait s’installer de nombreux jardins familiaux. Nous sommes bien là dans une logique urbaine, pour retisser des liens entre les quartiers de faubourgs historiques qui fonctionnent de façon linéaire, des zones d’habitat social, en s’appuyant sur des éléments de centralité qui fond repères dans la ville.

Suite à cela, nous avons été amenés à définir deux tracés différents pour la ligne de TCSP, en remettant en cause le tracé annoncé. Le premier scénario vise à se rattacher au quartier social de Woippy, en passant par la route de Thionville, et la zone maraichère, par le prolongement du boulevard passant devant les logements sociaux, dont le profil actuel permettrait de faire passer un transport public cadencé. Ce premier scénario permet également de re-densifier le cœur du quartier par un nouveau programme de construction, de rétablir des continuités pour une ville passante avec plus de mixité dans les typologies de bâti.

Le second scénario s’inscrit dans une tout autre logique, puisque là il s’agit d’anticiper le développement de la ville. Peut-être serait-il intéressant que le tracé de ce nouveau transport en commun passe par l’avenue des deux Fontaines, très large, et qui est bordée aujourd’hui par une série d’entrepôts d’activités commerciales, que nous souhaitons dans un plan global, densifier et surtout mixer les activités. Il s’agirait alors d’enclencher la mutation du quartier par le boulevard. De plus, peut-être s’agit-il d’un compromis également avec le quartier de Woippy desservi par ce TCSP à proximité immédiate. A l’échelle de l’agglomération entière, il s’agirait également de relier les quartiers Sud avec les étangs de la partie Nord, en limite de ville, et de permettre de s’échapper facilement en campagne, de retrouver le patrimoine historique de la ceinture des forts (par le fort Gambetta), début d’une promenade qui nous amènerait sur les pentes du Saint Quentin.

D’autre part, la correction nous a permis d’aborder la gestion des hauteurs de la ville, en rapport avec le boulevard qui prend place sur l’autoroute existante. Nous souhaitons fermer avec ce boulevard « le ring » initié par les allemands, mais, nous sommes confrontés au passage de la Moselle. L’hypothèse d’un pont mobile est à écarter, par le coût de cette infrastructure. Marc Verdier nous a dit, à juste raison, que l’on pouvait jouer de cette contrainte en mettant en place de subtils systèmes autour d’un espace public de qualité. Des exemples nous ont été donnés, notamment à Lyon, au débouché du pont Morand et du boulevard de Roche choir. L’enjeu est ici de rattraper le niveau de l’île du Saulcy qui nous paraissait totalement enclaver.

Enfin, Marc Verdier nous a conseillé d’insister sur la relation qui peut s’établir entre le port Mazerolle en reconversion et les routes structurantes historiques telles que mis en relief dans le projet. Le port ne doit pas simplement fonctionner avec le boulevard, mais doit également terminer, par des valeurs particulières d’espaces publics, ces routes. Il s’agit alors de prolonger ces routes visuellement jusqu’à la Moselle et de jouer ainsi sur les épaisseurs entre le boulevard et les bords de Moselle, des endroits sages et d’autres particuliers (ponctuer la promenade le long de la Moselle). Par exemple, le quartier de la Pattrote doit pouvoir dialoguer avec un lieu singulier lui répondant au bord de la Moselle.

Nous pouvons donc conclure sur le nécessaire besoin de tisser des liens physiques et visuels entre les différents quartiers (redonner une transversale urbaine et une transversale paysagère), mais il faut également rétablir un lien entre ces quartiers et les bords de Moselle.

05/05/2009

Groupe 2 : Joana Félix Fernandes, Céline Ferrandis, Laura Schmit, Angélique Petit

Après avoir déjà créé de nouvelles zones clé d’aménagement réalisables à court terme, notre travail doit se tourner vers une approche où nous étendrions ces aménagements pour les infiltrés peu à peu dans le bâti existant très peu dense.

Au sud du quartier, la nouvelle zone de bâti entièrement dessinée viendrait donc englober l’ensemble des architectures de l’ENIM, ENSAM… pour aller rejoindre le village de Grigy et reformer une entité urbaine.

A l’ouest le nouveau quartier créé viendra prendre place jusque dans la zone des architectures longeant le lac symphonie.

Au nord, le nouveau quartier créé sur la zone du Cora viendra à entrer en communication avec Borny, et Borny village.

 

Deuxième point important, la mixité devra se faire dès la plus petite échelle, îlot… entrainant ainsi un quartier dynamique en tout point.

 

La phase de construction de ce nouveau quartier technopôle n’étant réalisable totalement dans l’immédiat, nous proposons la réalisation en plusieurs phases évolutives :

 

-Une première comprenant les constructions que nous pouvons déjà entreprendre c'est-à-      dire court terme

 

-Une seconde qui correspondrait à un moyen terme avec déjà quelques parcelles récupérées pour pouvoir étendre notre logique de quartier. Nous pensons notamment aux bâtiments le long de l’axe du TCSP au cœur du quartier technopôle, où nous aimerions aménager un boulevard urbain longé par du bâti assez dense, ainsi que la totalité de l’immense parcelle du Cora.

 

- Puis enfin dans une phase plus éloignée encore, nous aimerions récupérer un maximum des parcelles aujourd’hui tertiaires afin de récréer un quartier illustrant notre logique.

 

Au niveau de la volumétrie, nous imaginons des constructions hautes le long des grands axes urbains en rapport avec la largeur de ceux-ci. D’autres bâtiments hauts feront également face à ceux déjà important, comme le World Trade Center.

 A l’intérieur des quartiers une autre volonté de mixité impose la cohabitation de divers types de bâti.

Dans la zone aménagée près de la prison, le long du nouveau tracé du golf nous imaginons des constructions plus basses. Opposées aux constructions hautes le long des boulevards urbains elles créeraient, avec leurs jardins familiaux, une transition plus douce avec le golf et l’agriculture.

Cette même logique sera suivit dans la zone du nouveau quartier de Cora.

Dans une autre optique, des constructions le long du golf dans la zone d’aménagement sud, seront hautes, offrant le plus possible de vues sur l’espace vert et optimisant ainsi la valeur de ce quartier.

 

04/05/2009

Groupe 8: DUBRET,KARAYER,JACQUEMIN, PEYROUSE

Plusieurs esapces à renouveler manque sur la carte des enjeux du quartier:

-L' espace de la voie ferrée avec des zones en friches et les équipements tels que la poste, ou les commerces.

- Les entrepôts près de Woippy. D'ailleurs le quartier de logement de Woippy doit s'ouvrir sur le reste du quartier.

Trois différentes caractéristiques sont à représenter, espace existant, à créer, à modifier.

Les pôles de centralité sont à représenter à l'échelle quotidienne également.(mairie)

L'A31, en boulevard urbain sur le modèle du ring. Les bâtiments doivent ils alors etre de la hauteur de ceux du ring?

Plusieurs références pour l'aménagements des berges, le rhone à Lille ou la Sarre à Sarrebruck.

01/05/2009

Compte rendu de la correction du 30/04/09

Groupe 10 : BIBAS – CALIGIURI – CHRISTOPHE - OTT

Correcteur : André VAXELLAIRE

Lors de cette correction, il a été reprécisé les conditions de la prestation orale : l’analyse doit impérativement être liée au projet du secteur, non seulement par suite logique, mais aussi pour ne pas perdre de temps (20 min. seulement par présentation).
De plus, l’ensemble des planches doit être cohérent et homogène.

Analyse : Planche 4 : la question de la population doit aussi mettre en évidence la densité du secteur par rapport à d’autres quartiers plus ou moins denses.
Attention aux méthodes de représentation : les traits sont utilisés pour la voirie, les aplats de couleur pour les zones. Ceci facilite la lisibilité des cartes qui doivent être assez percutantes et claires.

Projet : L’idée de prendre la Seille comme fil conducteur du quartier est intéressante, mais elle ne suffit pas, seule, au projet d’aménagement du secteur.
Rappel :
Zone inondable supérieure à 1m : non constructible
Zone inondable entre 0 et 1m : constructible mais avec des règles précises

Repérer les lieux stratégiques du quartier aide à la conception du projet : analyser les parcours journaliers, les trafics…

Boulevard de Trèves : gros enjeu du quartier qui devient un nouveau pôle de centralité dans la ville. Il est à densifier, les constructions doivent s’intégrer aux casernes présentes, il faut quelque chose de « lourd » pour une entrée de ville. Il faut un vrai équipement, « une vitrine » en bas du boulevard de trêves, créer un silo à voiture à Borny, et non pas à côté du centre ville, éviter les ronds points (un carrefour suffit) ;

En ce qui concerne le secteur de la Seille, l’équipement, lieu d’attraction, doit être près du ring, les casernes de pompier peuvent être plus compactes …

Pour Chambière et les casernes militaires, il ne faut pas avoir peur de densifier et de créer une diversité de bâti (maison individuelle, collectif, commerces …) et créer également des pôles d’attraction ; il faut également créer des passages vers le parc de Chambière : entre Pontiffroy et les bâtiments militaires (ring) et entre les bâtiments militaires et le parc (boulevard de Trêves), s’interroger sur les zones à côté des usines : contraintes par rapport à l’habitat ?

30/04/2009

GROUPE 20: Ancel P, Knobloch S, Kretzer C, Schwarb E

            Notre dernière correction de projet était essentiellement axée sur le projet d’aménagement de nos secteurs. Ces derniers s’articulent selon une cohérence globale. Celle-ci se présente comme un remaniement du maillage de la ville. Ce nouveau maillage valorise les voies radiales existantes et nouvellement créées et relie ainsi nos secteurs de travail.

 Par la suite,  ils s’organisent individuellement selon leurs besoins et usages.

 

Nous allons recenser les problèmes posés lors de cette correction, pour l’ensemble et par secteur.

 

En ce qui concerne le plan général d’aménagement, nos secteurs dépassent visiblement les limites données par le sujet. Il faut veiller à bien les redélimiter.

Par ailleurs, on redessine des boulevards urbains à partir de voies moyennement fréquentées, il serait souhaitable d’évaluer le gabarit avant.

Le projet du Sugnon déjà réalisé par la mairie devra apparaître en fond de plan.

 

 

Pour ce qui est du secteur SNCF, l’esplanade préservée pose un problème : celui de la confrontation brutale aux voies ferrées, sa situation surélevée (traitement à réfléchir) et son dimensionnement par rapport aux îlots. Pour mieux visualiser le projet il est indispensable de travailler d’avantage en coupe.

 

Quant aux casernes, notre volonté d’implanter des commerces dans la rue Franiatte devra se faire de façon plus condensée, plus diversifiée afin de donner de l’intensité.

 

 

 

Groupe 15 : HUTTOIS, MARGON, SENARAT, THIERY

Suite à l’entrevue avec Guillaume Angster, nous avons conclu :

Analyse :

-       ne pas hésiter à bien titrer les cartes et les illustrations de manières à attirer le regard.

-       Retravailler la carte d’enjeux afin d’y expliquer l’ensemble de notre projet.

-       Ne pas oublier échelle et Nord.

Secteur1

Projet :

-       Sous secteur des « Ateliers SNCF » :

o   problèmes avec les deux grands hangars : réelle valeur patrimoniale ? les garder serait peut être une contrainte non justifiée car ils enclavent le quartier et ne participe pas à son ouverture. Peut être essayé de faire sans et de les insérer ensuite si le programme le permet.

o   Finaliser le plan d’aménagement général, et approfondir chaque sous-secteur, notamment trouver quels programmes ils seraient judicieux d’installer.

o   Instaurer un ou plusieurs axes desservant le quartier.

o   Réfléchir à la position, à la situation du parc en cohérence avec le plan d’aménagement général.

 

 

-       Les casernes :

o   on a vu l’intérêt plus judicieux de créer plusieurs lieux publics liés avec des fonctions différentes plutôt que comme au Scharnhausser park une grande allée piétonne continu.  Pour la rue Farniate, nous avons envisager la possibilité d’y inscrire un TCSP et de réduire la circulation par un sens unique (en redistribuant sur les voies parallèles.) Nous avons observer avec des références l’échelle des places d’armes : cour de la caserne Raymond = cour de Loretto à Tübingen. Nouvelle centralité au niveau de l’église avec une place, équipement de type mairie… ainsi qu’un arrêt du TCSP.

o   Idée de « petits » espaces publiques en relation les uns avec les autres : place minérale, café, parc, square.

o   Concernant la caserne Lise, il subsiste une nécessité de traitement comme un morceau de ville, une nouvelle typologie d’îlot, plus urbain, plus intime.

o   Pas de nécessité réelle d’y insérer un grand parc mais au contraire une densification du tissu.

 

-       Franges SNCF :

o   traitement en « quais » cyclables et piétons. En liaison avec un tour de ville.

o   Insérer un équipement adapté au site, au lieu.

o   Finir les îlots existants

-       Le problème des sous-secteurs se pose avec le secteur de limite de ville au Sud qu’il serait nécessaire de traiter. Nous nous sommes répartis déjà répartis des sous-secteurs de manière équilibrés. Il faut que l’on règle ce problème.