15 posts categorized "Séance du 3 avril"

23/04/2009

Groupe n°17 : Flick, Frien, Gozzo, Pettenati.

Avant la séance du 3 Avril nous avons pu nous rendre dans notre quartier, ce qui nous a permis de mieux appréhender les enjeux que nous avions mis en place. Ainsi, nous nous sommes décidés sur toutes les cartes qui appuieraient notre analyse et notre diagnostique.

 Au cours de notre entrevue avec l’enseignante nous avons pu discuter sur la meilleure façon de rendre notre analyse parlante  et pertinente, par le biais d’astuces graphiques et didactiques. Elle nous a aidés à clarifier nos points de vue en filtrant les cartes que l’on a toujours tendance à surinformer. Nous avons donc, au début de cette séance défini les informations que nous voulions apporter, et les différentes façons de les communiquer.

Ensuite, nous avons pu enchaîner sur le projet en lui-même, et ainsi exposer nos grandes idées et les axes majeurs sur lesquels on va s’appuyer. Quelques grands traits ont été tirés nous permettant de réexaminer notre travail depuis le début et ainsi de vérifier que tout restait toujours en cohérence. En effet,  cette cohérence entre tout nos propos est un de nos objectifs majeurs dans une discipline qui aborde une multitude de domaines souvent hétéroclites.

L’approbation de l’enseignante sur ces différents points nous a permis de continuer sur notre lancée et ainsi d’affiner nos techniques de représentation et nos réflexions sur le sujet.

Groupe 23 : Baudinet Enderlin Zagury

Compte rendu du 3 avril :

Au cours de cette séance, on s’est apercu qu’il nous manquait des élèments  du diagnostic de notre secteur :

-          Dégager les usages de notre secteur

-          Dégager les mutabilités des espaces ( concessionnaire, caserne, parkings)

-          Dégager les différentes axes de communication par rapport à leurs flux

-          Simplifier les schémas d’interprétation et d’intentions du secteur

Cependant, nos enjeux sont  clairs .

Désenclaver le quartier  en cyblant certains objectifs.

Dans l’axe nord /sud :

Mettre en valeur les berges de la seille et lier entre eux les différents parcs qui sont en connexion avec les anciennes fortifications et les élèments d’hydrographie .

Désengorger le boulevard de Trèves et le rendre plus urbain en donnant la place aux piétons et aux cycliste

Donner une vraie identité au ring allemand.

Dans l’axe est/ouest :

Enlever la connexion d’entrée directe dans le cœur de ville qui était dans une autre vision de la ville pendant les années 60 et connecter les jardins ( Jardin des tanneurs et jardin des amours).

Redonner  vie à la voie historique qui traverse la seille au Nord mais qui est actuellement déconnectée ( impasse sur le secteur des terrains de sport et écoles menant au boulevard Peixhans)

Créer des connexions piétonnes entre la colline de Bellecroix et le cœur de ville qui sont très proche mais pas du tout connectés dirctement.

Ponctuellement :

La parcelle du garage Renault à libérer pour permettre une continuité du « passage vert » par les piétons le long de la voie ferrée. Par ailleurs, il faut penser l’aménagement de cette parcelle pour permettre cette connexion.

Trouver une solution de stationnement pour les véhicules ( silo) pour libérer le parking hopital et prolonger la trame verte, pour faire une connexion avec le quartier de l’amphithéatre.

Trouver une solution pour  que la porte des Allemands ne soit plus une barrière, plus une «  porte fermée » et devienne un vrai lieu de passage, qui donne envie d’aller voir ce qu’il se passe derrière.

22/04/2009

Groupe 19 : Cayre, Probst, Rollot, Saehr : 3e Correction

Après présentations des cartes et analyses réalisées par le groupe pendant la semaine, il a tout d'abord été mis en évidence durant la correction quelques oublis dans les travaux réalisé. Le graphisme de nombreuses cartes été quant à lui visiblement moins clair que l'explication fournie à l'orale. Enfin, quelques cartes ne semblaient visiblement pas à une échelle appropriée et devront faire l'objet de retouches. Les thématiques proposées et l'orientation générale du travail n'a toutefois pas été remise en cause, et l'avancée globale du groupe a plutôt été saluée et encouragée. 


Sur la question du paysage, la liaison entre les belvédères de la ville, pas forcément mise en valeur au niveau du relief de Bellecroix, semble un élément important du diagnostic, et l'analyse devra faire l'objet d'un positionnement du groupe vis à vis de cette question. Les questions de parcours nord/sud le long de la Seille, de la question du positionnement de Bellecroix comme d'un "poumon vert" dans la ville et de la mise en valeur de la situation actuelle de franges paysageres au niveau des casernes en cours de réhabilitation près du quartier de Bellecroix (qui créent aujourd'hui une fracture dans la continuité de celle crée par les différents axes parallèles) ont été encouragées.

Les analyses des réseaux, parcelles et densités étudiés ne bénéficient quant à aux pas encore d'une bonne lisibilité dans leur réalisation en carte, et nécessitent d'être aussi clair dans leur visuel que dans leur explication orale. Mais leur précisions sur les dents creuses à l'échelle de la ville, du manque de T.C. dans le secteur de Bellecroix sont à développer tout autant que la mise en évidence de la caractéristique forte que possèdent les parcelles à grandes échelles de la zone étudiée : leur bati qui y est inséré, considéré en objet posé sur un green, ne permet ni de créer des espaces urbains hierarchisés et de qualité, ni d'offrir une densité et une mixité de formes et de fonctions.

Sur la question des usages enfin, la carte régionale mettant en évidence le lien évident à faire entre les différentes échelles de réseaux et la carte de la ville présentant les caractéristiques et les identités des différents quartiers présents -ou non!- autour du boulevard de trêves ont été saluées... Le manque d'une carte retracant les places respectives de la voiture et du piéton selon les quartiers s'est fait sentir...sa réalisation fera l'objet d'une attention toute particulière dans les temps à venir !

Mathias Rollot - groupe 19

Groupe 13 BAKHSISS FEROTIN LAUBER LE GUEVEL seance du 03/04

Séance 3 :

Analyse du secteur bellecroix-boulevard de trêves-chambière

 

 

1.      PAYSAGE

 

Constat

L’île de Chambière est en rapport direct avec le grand paysage de l’eau. Ses berges et ses zones de végétation ripisylve sont des espaces valorisants pour le quartier. Cette zone est en grande partie inconstructible au vue de sa qualité inondable.

En revanche la zone de Bellecroix est d’un tout autre paysage. En effet le quartier est adossé à une colline très boisée. En effet il y a un grand parc de flanc de colline autour du patrimoine militaire des fortifications. Cette topographie isole le quartier.

Le parc de bellecroix veut mettre en valeur le patrimoine mais est mal aménagé : peu d’accès en bordure du boulevard peu de communication avec le reste de la ville. Ce parc est pourtant l’issue d’une histoire particulière de la ville à ne pas oublier.

Le paysage du bord de seille est constitué d’une végétation sauvage. Le traitement de ses berges n’existe pas vraiment pourtant la seille peut être un lien entre l’est de la ville et le nord-ouest.

 

Enjeu

Les enjeux du paysage de l’eau comme plus value. L’étendue des zones inondables permet d’installé un parc et des jardins familiaux. En tant que zone inondable elle devrait garder aussi sa qualité en récoltant les eaux de pluies.

 

 

2.      ARMATURE URBAINE

 

Constat

Notre zone n’a pas vraiment de centre ni d’espace publique majeur.

Boulevard de trêves et         :

Les axes de transports majeurs de notre zone sont des axes traversant et non des axes de dessertes bien qu’en tant qu’axes structurant ils devraient articuler les quartiers entre eux. La qualification de ces axes entraine une absence de transport en commun. Ces axes définissent les lieux comme lieu de passage et non comme lieu de vie. Ce sont des axes de fracture.

Comme ces quartiers ne sont que des lieux de passages le piéton n’a pas sa place il n’existe que peu d’aménagement pour ces déplacements. Ainsi il est très difficile de se rendre depuis bellecroix jusqu’au centre ville bien que la distance à vol d’oiseau ne soit pas si grande.

 

Enjeux

Faire un boulevard qui soit une réelle entrée de ville en retravaillant le gabarit de voies en ralentissant les voitures et en offrant une place pour le piéton acteur de la ville. Créer des accès au centre ville et rendre ainsi le boulevard perméable.

Recréer  des polarités pour une identité du quartier et une nouvelle vie

 

3.      MORPHOLOGIE URBAINE

 

Constat

Bellecroix a la vocation d’un quartier dortoir. Il n’y a aucune dynamique en matière de zone de travail. Il n’y a pas n’ont plus de commerces. De plus ce quartier est a faible densité et le bâti prévu pour un seul usage est pas assez mixe. C’est un grand ensemble de logement social qui donne une identité particulière au quartier.

 

Enjeux

Chambière est un pole administratif de Metz avec beaucoup d’installation militaire. Cela  devient donc une zone de potentialité. On doit prendre en compte lors de sa réhabilitation l’héritage patrimoniale des casernes.  Hors il y a différent type de casernes pour différents usages.

 

Enjeu

De la mixité : du commerces et du tertiaire

 

POPULATION

 

Constat

L’île de Chambière connait un développement démographique marqué par l’installation du campus sur l’île de Saulcy.

Bellecroix est un quartier de  54000 habitants et en augmentation ces dernières années. Il est classé en Zone Urbaine Sensible.

 

Enjeu

Amené la population dans ce quartier en lui forgeant une réelle identité. Identité issue probablement de sa qualité géographique de lieu-frontière avec le grand paysage.

19/04/2009

Groupe N° 5: Blareau/Colinet/Hiller/Perdereau

Correction du 3 avril:

 

Suite à la correction du 20 mars, nous nous sommes rendus dans le quartier de Chambière pour visiter certaines parties du site et compléter certains relevés. Nous avons découpés notre analyse selon les quatre thèmes énumérés dans le sujet : la géographie du site /la morphologie urbaine /l’armature urbaine /les populations et usages

Pour cette correction, nous avons réalisé des cartes sur support informatique, à différentes échelles, mais nous avons rencontrés des similitudes concernant certaines cartes de la morphologie urbaine et celles des populations. Nous avons aussi commencé à énumérer les différentes particularités et enjeux du site :

-          en créant des liens entre la vieille ville de Metz et le boulevard de Trêves et la colline de Belle Croix, c'est-à-dire créer une extension de la vieille ville.

-          En aménageant des espaces paysagés forts dans les zones non constructibles (parcs en rapport à l’eau)

-          En réhabilitant les bâtiments d’intérêts patrimoniaux

-          En traitant le boulevard de Trèves pour en faire un espace plus urbain, avec une circulation moins présente.

-          Donner un plus grand intérêt au quartier en y insérant des équipements et espaces d’intérêt public tout en y apportant mixité et densité.

A l’issu de la correction, nous devons :

- réaliser une meilleure hiérarchisation dans nos cartes

- faire des cartes plus analytiques, chaque carte doit donner une information utile pour le futur projet.

- pour les cartes régionales, ne pas s’arrêter aux frontières françaises (mettre en relation le Luxembourg et l’Allemagne avec la France

- continuer à développer le projet

 

 

SH2MA

Groupe n°2; Félix Fernandes, Ferrandis, Petit, Schmitt

Compte rendu du 3 avril 2009

La forte présence paysagère du secteur du technopôle nous amène à nous poser la question de la connexion entre ces différents éléments paysagés et notamment la connexion avec le parc de la seille, les coteaux de Queuleu.

Comme nous avons pu le voir à Scharnhauser Park nous retrouvons dans le secteur technopôle la limite entre le paysage agricole et le bâti, ainsi que la présence d’un relief léger mais existant.

L’étude de la morphologie urbaine montre la présence d’une certaine mixité, mais concentrée par zone. Il faut donc créer une réelle mixité au sein du quartier, amener des espaces, des services, créer un cœur de quartier, un point de centralité qui à ce jour sont inexistants.

Il faudra créer un nouveau noyau de centralité pour le transport en public, desservir le cœur du quartier, les écoles ainsi que l’hôpital de Mercy. Le secteur du technopôle ayant un potentiel universitaire en plein essor, le transport public devrait pouvoir relier le pôle universitaire de l’île du Saulcy et le technopôle.

La limite du secteur intègrera le projet des parcs (Seille/Coteau) et le site de Mercy qui est très important, puisqu’il génèrera beaucoup d’emplois et donc un besoin de logements à proximité du site.

Dans la production de nos documents nous devrons faire entrer en relation les différents éléments, les différentes informations, tels que le paysage et le relief qui engendrent un certain étalement urbain, ou encore l’aspect historique qui entraine un développement urbain dense ou une urbanisation sectorisée, diffuse (Axes autoroutiers).

Il faudra également supprimer une grande partie des espaces de stationnement qui sont omniprésents. Construire à ces emplacements ? Créer un parking silo et requalifier les espaces verts.

Que faire des bâtiments objets dans le parc du technopôle ? Densifier ou les laisser tel quel ?

Groupe n°7 : ANTOINE Sarah - CLEMONT Rachel - MOHORIC Nicolas - THILLEUL Stephanie

Le secteur de Montigny possède un fort potentiel que nous avons décidé de mettre en valeur par les différentes cartes analytiques, afin de préparer, des la phase d’analyse, l’axe par lequel nous projetons d’envisager le projet urbain.

Par une première carte à l’échelle de l’agglomération, nous avons décidé de mettre en valeur la position de Montigny en matière d’attractivité, dans l’agglomération messine. Pour cela, nous cherchons à faire la place de Montigny dans la zone urbanisée de l’agglo, faire apparaître les différentes voies de communication et la manière dont Montigny en est concernée, ainsi que les différentes zones d’attractivité de la ville. Il ressort de la correction qu’il serait important dans ce sens de différencier les différentes zones attractives : par exemple, différencier les zones industrielles de la périphérie sans valeur urbaine, du centre historique à forte valeur urbaine et patrimoniale.

 Notre seconde carte à l’échelle de l’agglomération a pour enjeu de mettre en valeur la situation exceptionnelle de Montigny qui tangente le paysage de campagne. Il nous faut pour cela faire ressortir de façon plus évidente l’infiltration de la campagne dans la ville par le biais de la vallée de la Seille.

Notre carte doit finalement faire ressortir les trois éléments majeurs que sont : la vallée de la Moselle, les coteaux de Moselle, et le plateau agricole.

Un schéma portant sur le paysager nous permet d’appuyer cette idée que Montigny s’inscrit dans une forte trame paysagère entre le parc structuré de ville et le grand paysage agricole.

Notre but, par cette série de cartes analytiques, est de mettre en valeur les qualités du quartier, qui possède une double valeur : celle d’être tant un quartier à la campagne qu’un quartier très urbain.

 Les cartes au niveau du quartier nous permettent de nous poser la question de la limite de ville au niveau des terres agricoles. Ainsi, nous cherchons à faire ressortir le lien urbain nord-sud (à mettre en valeur), ainsi que le lien paysager transversal (lien doux, parcs, promenade, proximité agricole très forte). Il nous faut également nous poser la question de la coupure que représente la voie ferrée dans ce quartier.

 Nous avons décidé également de présenter un rapide historique de la ville de Montigny qui nous permet d’exprimer de façon très claire la construction par fragments de ce tissu urbain.

 Nos enjeux pour le projet sont donc, en conclusion de cette analyse, les suivants :

            -          faire de la campagne et de la vallée de a Seille un enjeu très puissant par une liaison forte

-          se poser la question : fait-on un centre ou plutôt une centralité de faubourg, c'est-à-dire une linéarité structurante de la ville de Montigny avec une succession de points forts (place, église, halle d’exposition, commerces…) avec un emboîtement de l’urbain, du naturel, du cultural… Il parait intéressant de chercher à mettre en place une addition de potentiels en leur donnant des valeurs, des hiérarchies.

-          Montrer qu’augmenter la densification peut-être aussi efficace que la construction en bordure de terres agricoles, que nous chercherons à préserver.

13/04/2009

Compte Rendu 5: DIDOT, JOURNOUD, MOUGEOLLE, SCHARFF

Nous avons continué à travailler les cartes sur les thèmes aux différentes échelles. Elles semblent assez claires bien que certaines soient un peu trop schématiques, il faut hiérarchiser les informations.

Quelles cartes pour dire quoi ?  Il faut trois à quatre éléments critiques pour chaque carte.

Des éléments pertinents sont à mettre en avant, comme la cathédrale, la gare pour permettre de se situer sur la carte.

Des liens sont également à effectuer entre les cartes elles-mêmes.

Le travail avec des schémas est à continuer et à appronfondir.

A L’ECHELLE RÉGIONALE

Conurbation Metz/Thionville

Attractivité du Luxembourg résultat une continuité du bâti entre Metz et Thionville.

Rappeler le contexte de la gare TGV

 

A L’ECHELLE DE L’AGGLOMERATION

Effectuer un négatif/positif des zones de forte densité et de faible densité.

Où vont les gens ? Quelles sont les pôles de centralité ?  Qu’est-ce qui structure la ville ?

A L’ECHELLE DU SECTEUR

Présence de nœuds tout au long d’un axe, avec des caractères différents à préciser.

Retravailler les cartes à partir de ces nœuds urbains, la voirie, les transports en commun découlent de ces nœuds.

Hierarchiser les axes de communication.

Seille comme éléments de paysage mais aussi comme une fonction urbaine :

           Eau  Þ   équipementsÞ    aménagements

Projet : succession de coupures, Seille, voie ferrée, boulevard de Trèves, relief. Quel(s) lien(s)  peut-il y avoir ? Passerelle, parc, … ?

Compte rendu du 03 avril 2009

GROUPE 8 : PEYROUSE, KARAYER, JACQUEMIN, DUBRET

 

Le quartier de Devant-les-Ponts s’est construit le long de routes reliant Metz aux villages voisins. Une nappe s’est construite entre la ville centre et les petits villages autours.

Ce quartier présente deux routes structurantes à fort potentiel et une voie ferroviaire qui marque une rupture à minimiser par l’avenir.

Le secteur de Patrotte est à recomposer et les anciennes casernes sont réutilisables. Les secteurs de maraîchage représentent de réelles valeurs de production première (biologique…), peuvent proposer un commerce de proximité et sont donc à conserver. Notre but est d’urbaniser et densifier ce quartier : avant tout, il faut recomposer la ville avant de construire sur les espaces vides.

On distingue trois schémas de terrains à valeurs différentes. Les terrains constructibles, les récupérables (par la destruction), et les réutilisables et ré appropriables (déjà urbanisés et viabilisés).

La route de Thionville a pour enjeu  de devenir une voie urbaine de bonne qualité. Le but est de l’insérer dans une trame de quartier en récréant un maillage transversal. Les deux routes du quartier sont actuellement des coupures dans le paysage urbain. L’enjeu est ici de créer des liaisons entre ces quartiers denses.

Une question à se poser est celle de l’eau : comment la ville historique a su valoriser l’eau et donc le potentiel que l’on a aujourd’hui au niveau de la Moselle et notamment des quartiers du port et de ses voisins. Le port a une valeur historique égalée à celle du centre ancien et bénéficie d’une vue sur le centre de la ville. C’est donc un lieu à fort potentiel.  Il faudra ici s’inspirer de références modernes concernant la réappropriation des ports dans les villes européennes.

Notre travail va donc s’orienter sur les 4 enjeux principaux de ce quartier :

-          La route de Thionville et sa réinterprétation en boulevard vert.

-          L’autoroute A31 et sa réinterprétation en boulevard urbain de grande qualité avec la mise en place de voies ouvrant vers le centre et d’une trame verte structurant la voie.

-          L’ouverture sur l’eau

-          L’intégration de la voie ferrée aujourd’hui coupure qui s’intègre dans le maillage du quartier.

L’idée de travailler sur l’armature urbaine va engendrer toute une transformation de la ville. A terme, les changements au niveau du quartier vont s’ensuivre. Le but étant d’insérer une trame paysagère transversale à la trame urbaine préexistante.

Enfin, il faut développer une méthode de pensée autours de l’eau. Le quartier se trouvant dans une zone inondable, l’eau est évidement un grand enjeu. Ces zones ne sont pas forcément négatives pour le quartier mais au contraire peuvent amener  une grande biodiversité et rendre attractif ce quartier en périphérie qui reste encore aujourd’hui quelque peu négligé. Il faut transformer cette contrainte en une valeur et orienter l’analyse  par rapport à une stratégie liée à l’eau.

Globalement, ce quartier présente une grande diversité en ce qui concerne l’habitat, le commerce et les services mais il reste encore aujourd’hui une périphérie de la ville centre, fermée sur elle-même.

07/04/2009

Groupe 3 : Perrin, Petiau, Plauche-Gillon, Thomas, Yin

Séance du vendredi 3 avril 2009

Quartier Devant-les-Ponts / Patrotte :

La zone à laquelle nous nous intéressons a pour centre le quartier de la Patrotte, enclavé dans un triangle formé par deux voies ferrées et l'autoroute. Bien fourni en équipements publics et en diversité de logements, la problématique principale de cette zone est l'infrastructure. C'est pourquoi nous nous sommes tout d'abord penchés sur les thèmes de l'autoroute A31, des voies ferrées et du port.

Dans l'idée d'un futur contournement de Metz par une autoroute, nous envisageons de transformer l'actuelle A31 en boulevard urbain. En effet, la présence de cet axe rapide en plein cœur de la ville la scinde en deux et n'autorise l'accès au nord de Metz que par la voiture. Nous envisageons donc de dessiner à cet emplacement un boulevard qui intégrerait les piétons, les cyclistes, des alignements d'arbres, et qui diminuerait le flux de voitures. Pour cela il nous faut prendre en compte l'actuel talutage à certains endroits, de même que les nœuds routiers présents actuellement (jonction pont-route et raccord avec les rues) et le futur TCSP.

Ce boulevard devra prendre en compte l'actuel port, c'est-à-dire qu'il ne devra pas représenter une coupure avec le reste de la ville comme le fait l'autoroute actuellement. Ce port représente un potentiel foncier important, et il accueille à la fois des plaisanciers et des activités (silos à grains encore en usage). Nous souhaitons en faire un nouveau pôle attractif en y insérant des logements, des commerces, tout en conservant les silos et le port de plaisance. Un aménagement des quais en promenade, la proximité du boulevard et une desserte appropriée apportera une qualité de vie à cette nouvelle centralité.

Les voies ferrées pourraient être utilisées pour un nouveau mode de transport en commun, le tram-train. De plus, parallèlement à ces voies pourraient se trouver des pistes cyclables et des chemins piétons. La différence de niveau entre le talus de la voie ferrée et la route pourrait être favorable à l'installation de parkings couverts et ainsi libérer de l'espace en pied d'immeuble. La promenade se ferait sur le toit de ces parkings. Nous avons ici pour référence la gare en paliers de S. Calatrava à Zürich.

Enfin, certaines rues demandent à être unifiées pour retrouver une identité (exemple de la route de Woippy avec le magasin Attac). Certains îlots semblent inachevés et gagneraient à être complétés afin de recréer un front de rue.

Notre zone d'étude s'étend au quartier Devant-les-Ponts, un quartier majoritairement d'habitations avec de nombreuses écoles et la présence d'une grande étendue de jardins familiaux. Ceux-ci semblent très fréquentés mais sont difficilement accessibles. Un système de voirie secondaire permettrait leur meilleure desserte et leur mise en valeur. Il nous semble important que ce lieu doit rester un lieu de convivialité pour les habitants et qu'il ne doit pas être construit.

Notre zone d'étude comporte des terrains militaires actuellement désaffectés. Cela représente un potentiel foncier considérable, avec notamment quelques bâtiments de belle qualités qui pourraient être reconvertis. A la manière du quartier français de Tübingen ou de Scharnhäuserpark à Stuttgart, nous envisageons de compléter ces îlots par des logements, des commerces... afin de recréer des centralités ponctuelles.

Il nous semble important de recréer des espaces publics conviviaux tels des places, des parcs qui représenteraient de nouvelles centralités actuellement inexistantes dans ce quartier.


GROUPE 16 : COURTOT, SOURISSEAU, TISSERANT, VUONG

CHAMBIERES – BOULEVARD DE TREVES 

 

 

ð  REMARQUES :

 

-          Pistes cyclables absentes, trottoirs inaccessibles aux piétons, bus trop rares…. Il devient urgent de faciliter le déplacement dans le secteur (Privilégier les modes de transport doux)

-          Parc + casernes è lieux de centralité pour les deux communautés => proposer des services accessibles aux classes de populations différentes de part et d’autre du centre ville.

-          Que faire du parc (actuellement terrain militaire?) è Entrée de ville.

-          L’ile est à la fois sauvage et urbaine è Progression? De l’urbain au sauvage?

-          Installer des équipements?

-          Faire allusion à l’histoire du « champ de mars » ?  

 

 

ð  ENJEUX DU SECTEUR :

 

-    Deux entrées de ville à qualifier (créer des mises en scène/ espaces stratégiques tournés vers le centre/ rapports visuels (cathédrale) / belvédères.)

-    Une voie rapide à réaménager en boulevard (places, espaces verts… dynamiser le secteur, lui donner un intérêt)

-    Redonner une place aux piétons et au cyclistes (pistes cyclables, chemin piéton, ponts…)

-    Limiter les passages de voiture  (bruit et difficulté de liaison due à la frontière du boulevard => détourner les voitures vers une rocade extérieure à la ville)

-    Créer une véritable liaison entre les secteurs (cf. traitements du sol, aménagements de promenade, itinéraire qualifié) 

-    Valoriser l’espace vert sur l’ile (parc de loisirs, aboutissement de la promenade, aire de jeux volants….)

-    Réaménager les casernes et en faire un élément clef du boulevard de trêves.

-    Mettre en valeur le passage du train (ponts plus esthétiques… traversées en hauteur, tunnels…)

-    Créer un système performant de transports en commun (tram train ?)

-    Désengorger les parkings sauvages (créer un silo à voiture qui deviendra un élément visuel caractéristique et emblématique de l’entrée de ville.

-    Valoriser les éléments de patrimoine, les casernes, les bords de Moselle…

-    S’ouvrir vers le grand paysage sans pour autant s’y étaler.

-    Créer des vues vers Bellecroix depuis le bd de trêves.

-  Diversité des statuts d’occupation (collectif social propriété location) pour une diversité de population (de catégorie socio professionnelle)

- Mixité des usages : proposer des équipements accessibles à tous pour que les populations de part et d’autre du boulevard de trêves s’y retrouvent. 

-       Casernes, deux orientations : coté parc= terrasse de café, coté rue = commerces

-       Boulevard : créer un parkway central (avec arbres, bancs,…) aménagé

ponctuellement par les artistes  pour qualifier cet axe vers le centre Pompidou et le parc de la seille.

-          Parc d’entrée de ville : créer des rappels/ mises en scène aquatiques (// jeux à Tubigen)

 

 

ð  REPRESENTATION ET PROJET :

Garder un même code de couleur.

Recherche de thèmes transversaux.

Recherche de références, de leur pertinence et application possible dans notre cas.

 

-          Paysage :

Favoriser la lisibilité des cartes par des cartes partielles, les dégradés, le cadrage, et la densité des détails en fonction des échelles et de ce que l’on souhaite montrer.

Des coupes montrant les typologies de bâti.

Le parc de Bellecroix est trop en hauteur pour penser à un espace «accessible à tous » > diverses contraintes d’accessibilité

Etude des essences végétales pour des enjeux du projet.

-          Flux :

Schématiser, et nommer les axes.

Hiérarchisation des tracés.

Faire une carte de synthèse, et des partielles.

Marquer les arrêts de bus pour signaler le manque.

Penser le carrefour comme une plateforme intermodale.

-          Histoire :

De la ville mais surtout du quartier.

Définir les éléments patrimoniaux importants pour le projet, marquant dans la morphologie de la ville.

-          Projet :

Attention à ne pas créer d’éléments inutiles ou hors d’échelle.

 

 

­

06/04/2009

Groupe 1 : BALDI, CHERIEF, COLNAT, CREUSOT, DENG

Compte-rendu séance du Vendredi 4 avril 2009 :

Les deux semaines de travail nous ont permis de définir une première ébauche de nos axes de projet. Ceux-ci s’appuyaient sur un diagnostic que voici :

Le quartier peut être vue comme la convergence vers la Moselle de plusieurs axes historiques relevant de valeurs différentes (et différées au cours du temps) : route de Thionville, de Woippy etc. Ces axes sont parfois structurants parfois déstructurants notamment par la fréquentation automobile.  L’idée serait donc d’établir un lien transversal selon trois axes : les berges du canal et de la Moselle ; établir une continuité entre les différentes tranches ; le grand paysage avec le Mont St Quentin à l’ouest, la ville et ses différents repères architecturaux, de même que le quartier lui-même.

La discussion avec notre assistant nous a permit de faire ressurgir des problématiques liées à nos axes de projet.

En particulier, lorsque nous évoquions des « cercles » pour caractériser les axes  transversaux, il était évident que le concept formel avait peu d’importance mais qu’il s’agissait bien d’établir, dans un premier temps, un diagnostic sur l’existence ou non de centralités fortes ou de potentialités ; puis dans un second temps, de s’appuyer sur ce potentiel pour recréer ce lien. Le quartier se caractérise en effet par un déficit d’espaces publics.

Une discussion s’est ensuite entamée sur la modification des fonctions des espaces et notamment sur la requalification de l’autoroute en boulevard urbain. Il se pose en effet une question par rapport à la pertinence de conserver les talus et à la possibilité de reproduire des centralités : le port n’est pas nécessairement à réorienter selon une direction (le loisir par exemple), mais peut faire l’objet d’une mixité fonctionnelle qui intègre les usages actuels (silo à grain qui caractérise d’ailleurs très bien le lieu.)

Alors que l’on se posait la question du démontage de la partie est du chemin de fer, notre assistant nous a fait remarquer que la requalification de l’autoroute est peut-être l’occasion de favoriser le ferroutage au moins sur la partie est de la zone industriel ; et pas nécessairement sur la partie ouest dont la zone peut totalement changer en terme de fonction.

Nous avons également discuté de la pertinence du projet de TCSP de la ville de Metz, qui coupe à travers les actuels jardins familiaux mais pour rejoindre les quartiers sociaux au nord. Nous avons proposé de préserver les jardins et de placer (cela demande une réflexion sur site plus profonde pour évaluer la possibilité technique notamment par rapport à la largeur de rue) le transport sur l’axe historique de la route de Thionville qui perdrait ainsi son caractère automobile qui la « contamine ». Mais cela risque de ne se placer sur aucune centralité particulière.

Par rapport à notre production de documents, il a été dit qu’ils étaient plutôt pertinents mais qu’ils gagneraient à être plus argumentés.

03/04/2009

groupe 6 Herbeth Jean ,Pitard Benjamin ,Pang-cheng Patrick ,Tonin maxime

Compte rendu de correction du 03 Avril 2009


Penser à une analyse synthétique qui introduit et enrichit la démarche de projet:

La zone de travaille est recentrée au niveau des berges de la Moselle, avec son potentiel paysager. La vieille ville s'ouvre sur la Moselle, tandis que la ville nord s'en détourne, en partie à cause de la voie férrée, de l'A31 et de leurs équipements.

L'enjeu sera donc d'ouvrir le ville nord sur la Moselle avec un travail paysager sur Ban-st-Martin, un déclassement de l'A31 et une transformation des échangeurs autoroutiers en terrains aménageables. De plus le déclassement de l'A31 permettra de compléter le ring qui relie les équipements de la ville et ses grands secteurs. Un autre enjeux sera de créer à partir d'une promenade paysagére, des liaisons à la fois géographiques et urbaines entre le mont St Quentin (les côtes de Moselle) et le plateau Lorrain en passant par la vallée de la Moselle. 

Intervention possible :

L'île du Saulcy qui actuellement est une zone partagée entre université et logements, pourra devenir un espace mixte, interface entre Ban St Martin et le centre ville (réfléxion sur la question du franchissement de la voie férrée et de la valorisation des espaces naturels en limite de Ban st Martin)

Réaménagement du port, création de logements, d'équipements.

L'ensemble de ces restructurations ont pour vocation de créer de nouvelles polarités dans ce quartier indispensable à sa liaison avec le centre ville ainsi que pour sa future extension.

Référence à consulter :

Parc de Corajoud à Paris

Traitement de la voie férrée à Breghenz

    

Groupe 20: Ancel P, Knobloch S, Kretzer C, Schwarb E

Suite à notre entrevue de ce vendredi 30.04.2009 nous devons revoir ou intégrer les points suivants concernant notre travail de projet urbain sur le secteur de Montigny :

 

A l’échelle de l’agglomération :

-Identifier clairement sur une carte les différents réseaux et infrastructures (transports, parkings)

-réfléchir à la représentation cartographique des projets en cours : à court ou moyen termes, ou en fonction des différents types de projets (renouvellement urbain, développement de nouvelles zones.

-situer Montigny (secteur de notre projet) par rapport au centre de Metz.

-veiller à traiter l’analyse avant d’aborder les enjeux et  nos projets

-Ajouter les infrastructures et réseaux sur les cartes historiques selon leur apparition

Suite à l’analyse on s’aperçoit qu’il existe que des relations paysagères et d’infrastructures radiales entre Metz et son agglomération. Il faudrait donc créer des relations transversales entre les périphéries. On s’aperçoit  que cette question se pose dans notre secteur de projet notamment lorsqu’il s’agit de la traversée de la Seille.

A l’échelle de Montigny :

-         Il serait judicieux d’établir une carte des enclaves.

-         faire une carte sur les différentes tailles de parcelles

-         faire une carte comparative montrant l’emprise du bâti par rapport aux parcelles

-         Annoncer les enjeux avant les secteurs de projet

 

Enjeux :

-         intégrer une trame verte en cohérence avec celle à l’échelle de l’agglomération

-         travail sur la transition ville/campagne (gestion de la limite, connexions douces paysagères et urbaines)

-         créer un nouveau centre de vie dynamique, mettre en valeur l’identité de la ville et du secteur par la réhabilitation des casernes. (densifier, diversifier les fonctions et usages…)

-         atténuer la fracture de la ville par la voie ferrée : travail sur les franges, réflexion paysagère (travail des vues et vis-à-vis, passerelles piétonnes et cyclables)

Questions liées au projet :

 

-Penser à  délimiter clairement la zone de projet

-Bien se renseigner sur les transports en communs existants à voir s’il est nécessaire de mettre en place un tramway

-créer des axes de communications doux : création différentes voies cyclables, piétonnes

-comment traiter la limite ville/campagne

-pertinence quant à la création des équipements (type et taille) à l’échelle à la fois du secteur et de l’agglomération

GRoupe 15 : HUTTOIS, MARGON, SENARAT, THIERY

Compte rendu de la séance du 3 avril 2009 à 14H20 à Nancy- ENSAN


Madame, monsieur,

Suite à notre entrevue avec l'enseignante, nous nous sommes mis au points sur différents questionnements:

. à l'échelle régionale : réaliser plusieurs cartes (population, transport, paysages) afin d'éviter le surplus d'information sur une seule et unique carte.
. à l'échelle de l'agglomération : Conserver, améliorer l'enchaînement chronologique de la formation de la ville en terminant par le constat actuel sur le potentiel foncier et les enjeux du secteur choisi (Montigny les Metz)
. à l'échelle du secteur : 
-Conserver le cadrage de la carte.
-Réaliser la carte montrant les zones d'activités,de vie du quartier (elle pourrait s'articuler avec la carte des voiries et les bâtiments publics)
- Concernant la carte sur la population: Se renseigner auprès de la communauté de commune de Montigny afin d'obtenir les informations sur la répartition de la population au sein de l'ensemble de la commune.
- Recherche de références à effectuer (friches foncière ferroviaire, et réhabilitation de casernes) 
. Approfondir le travail sur la phase du projet.

Bien cordialement.

Groupe 15 : Huttois, Margon, Senarat, Thiery