10 posts categorized "Séance du 13 mars"

24/03/2009

Groupe 16 Bilan du 13 mars: COURTOT Alison, SOURISSEAU Mélanie, TISSERANT Maud, VUONG Angélique

Approche du territoire  

CHAMBIERE- BOULEVARD DE TREVE

GEOGRAPHIE ET PAYSAGES :

*Échelle de la région :

-sillon lorrain

-position frontalière

*Échelle de l’agglomération

-Identifier de grandes identités paysagères : fond de la vallée de la Seille, cotes de Moselle côté ouest, coteaux attractifs et vergers, plateau lorrain où l’étalement urbain est anarchique, sans réflexion sur la limite de la ville.

-diversité de la végétation : ripisylve, boisement, prairie, vergers, paysages agricoles…

*Échelle du secteur :

Chambrière :

 -situé dans le fond de la vallée de la Moselle, ce qui engendre un risque d’inondation et une forte humidité

-paysage de l’eau, ouverture sur un espace plus naturel

Boulevard de Trèves : fort de Bellecroix, proximité de la vielle ville

Ces grandes identités paysagères sont structurantes.

®     Connexion de 3 entités de paysage différentes : on ne peut pas construire de la même façon sur ces 3 paysages : coteau/plateau/vallée inondable

®     tirer partie du paysage qui s’infiltre dans la ville

ARMATURE URBAINE : « ce qui fait fonctionner la ville »

-Concerne la voirie, le squelette. Mise en évidence des lieux attractifs, des grands équipements

-forme/valeur urbaine

*Échelle de la région

-Ville qui fonctionne grâce à sa position géographique

-logique de fonctionnement de ville en réseau (Luxembourg-Thionville-Metz-Nancy) avec voie ferrée et autoroute

-la vile fonctionne en réseau mais ne fonctionne pas à l’échelle de l’agglomération, c'est-à-dire avec les quartiers : logique de transport routier  (Problème de connexion entre la gare et les quartiers). Système de transport en commun médiocre

®     rendre plus efficace l’interaction entre les différentes échelles avec les moyens de transports

*Échelle de l’agglomération

-l’autoroute passe au cœur de la ville : PROBLEME de COUPURE N/S

Ouverture récente d’un contournement OUEST mains encore insuffisant

®     envisager des solutions de désengorgement

-RING : enjeu du tour de ville. Ring encore incomplet

-Voie ferrée : logique N/S, une seule gare centrale

Gros atout pour la ville

®     Intégrer d’autres réseaux pour une meilleure desserte au sein de l’agglomération

®     Réutiliser un réseau existant inactif pour réintégrer de nouveaux points d’arrêts

-Ville qui fonctionne avec des ponts : très autoroutiers

RUPTURE entre Metz N et Metz Sud alors que l’eau pourrait être un élément de liaison

®     donner une cohérence  plus urbaine à ces ponts, donner plus de place aux piétons

*Échelle du secteur

-Infrastructure qui dépasse l’échelle du quartier

-Boulevard de Trèves relève de la grande agglomération

POPULATIONS, USAGES, VIE QUOTIDIENNE

-concerne le domaine socioprofessionnel

- forme urbaine et usage très liés

-Quartier par zone, grand puzzle : grands ensembles, secteurs privilégiés, secteur pavillonnaire, secteur mixte

Rechercher les valeurs, le potentiel de chaque élément après avoir effectué un état des lieux objectif

19/03/2009

Groupe n°14: DOGO, MULLER, PASCAL, TAILLADE

Pourquoi avoir choisi le quartier Ban Saint Martin/ Devant les ponts ?


 

On retrouve dans ce quartier un nombre d’éléments à prendre en compte avant d’imaginer des solutions pour l’avenir :

 

Problème de zones inondables

Problématique de l’A31 qui amène un creux artificiel

 

 

On devra donc analyser et régler les problèmes urbains suivants :

 

Bousculer le code du boulevard urbain tout en respectant l’échelle de la ville

Traiter la géographie et travailler en coupe

Considérer et valoriser le paysage de l’eau et le Mont Saint Quentin

Requalifier l’entrée de ville (Route de Thionville)

Valoriser la densification dans le faubourg

Recréer un quartier en prenant en considération l’existant (identité propre du quartier)

Se poser la question du franchissement (De la Moselle vers le centre ville, de la voie ferrée)

Imaginer des belvédères compte tenu la topographie du terrain

Créer un réseau intermodale (Parking relais, transport en site propre)

Créer un cheminement le long de la Moselle (grande échelle) : polarité de loisir

 

En conclusion mener une politique urbaine affirmée (philosophie de vie pour le quartier) pour redynamiser et requalifier ce secteur et le relier avec la ville centre.

18/03/2009

COMPTE RENDU DE SEANCE DU VENDREDI 13 MARS 2009

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Cette première séance d’initiation au projet urbain, encadrée par M Marc VERDIER, était le support permettant à chaque groupe de mieux cerner les enjeux à différentes échelles de ce projet cadré sur la ville de Metz.          

En effet, le premier point que nous avons développé, concerne la ville à l’échelle européenne. Constitué par les villes de Luxembourg, Thionville, Metz et Nancy, le sillon Mosellan est un ensemble fort de l’Est de l’Hexagone. Il est important de constater que ces quatre villes forment un réseau le long de cet axe formé par la Moselle, impliquant que celles ci ne peuvent pas fonctionner les unes sans les autres, dans une dynamique de progression à l’échelle européenne. De ce fait, l’étude de ce projet ne peut se faire sans prendre en considération les autres villes de ce réseau.

Dans un second temps, à une échelle plus ciblée, la particularité de la ville de Metz, est d’être traversée du nord au sud par la Moselle, longeant le centre historique de la ville. Cette première condition naturelle met en évidence l’importance à accorder au devenir du port de Metz, déplacé plus au Nord de la ville, à proximité du site de Chambière à requalifier.

Un autre fait important donné durant cette séance, concerne le recyclage des bâtiments existants, en effet, les récents mouvements initiés par le gouvernement concernant de nombreuses garnisons en France et notamment sur Metz, laissent place à de grands espaces non utilisés, tels qu’à Montigny les Metz, le long du Boulevard de Trèves, ou encore sur Chambière. L’intérêt ici, est de comprendre quels sont les impacts que peuvent avoir ces sites dans le développement futur de la ville de Metz ? Intervient ici, la question du patrimoine, que faut-il conserver, révéler, ou, au contraire que faut-il retirer, surtout ne pas faire table rase sans considérer le déjà là.

En ce qui concerne notre groupe, notre choix d’étude s’est porté sur le secteur du boulevard de Trèves/Chambière. Ce qui nous a poussés à choisir ce site est la présence de conditions rassemblant une grande diversité d’interventions possibles.

-L’entrée de ville marquée par le passage du Boulevard de Trèves, proche de site du garage Renault

- La présence en contrebas de la seille,

- Les casernes le long du boulevard du Pontiffroy

Ces premiers éléments, montrent les potentialités du secteur concerné, ne reste à nous qu’à trouver quel serait le fil conducteur sur lequel nous pourrions tirer pour commencer notre étude.

Dans une étude plus générale, nous avons constaté que la plupart des groupes présents se sont orientés vers le boulevard de Trèves, bien que deux d’entre nous ont choisi le secteur de Montigny les Metz, avec pour principal discours la liaison entre le centre ville de Metz et le secteur concerné. Posant ainsi la question du transport, importante dans la liaison avec le centre historique de la ville, élément à prendre en considération dans l'étude de notre secteur, et plus en amont dans la démarche de projet pour le site des hauteurs de Bellecroix.

Pour conclure cette première séance riche en information, nous pouvons nous donner comme marche à suivre pour la prochaine correction, de déterminer quels sont les différents points "négatifs" du secteur, en quoi peuvent-ils devenir des avantages? Question de la densité actuelle, mixité, voies principales….


Raphael Cayre - Groupe 19

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Groupe 3 : Perrin, Petiau, Plauche Gillon, Thomas, Yin

Compte-rendu séance du Vendredi 13 mars 2009 : 

Suite à notre décision de travailler sur le secteur de Metz Nord, nous
avons sélectionné différents points d'approches pour la compréhension du
quartier:


-Question de l'enclavement des grands ensembles
-Traitement des bords de fleuve, avec liaison à la cité fort Moselle
-Amorce vers la ville de Metz, où la question d'entrée de ville semble
intéressante à traiter, et qui permettrai de créer une relation avec le
Boulevard de Trêve.

Ensuite nous nous sommes donné une méthode de travail, articulée tout
d'abord autour d’une étude et d’une synthèse des documents à notre disposition.
Puis d’une analyse qui essaye cerner les points forts et les points faibles du
site qui vont nous servir de point de départ pour comprendre et amorcer des
enjeux.
La compréhension s’attachera notamment autour de question sur la qualité
patrimoniale du quartier, son analyse typologique, la compréhension de sa
relation avec l’eau, et ses rapports avec le centre ville. Pour nous y
aider, nous allons chercher un ensemble de références qui nous servirons de bases
de travail.

En ce qui concerne l’échelle régionale et l’échelle de l’agglomération nous
allons réutiliser le travail fait au premier semestre, et en deuxième
année, comme point de départ, et nous les confronterons à l’échelle du secteur où
la géographie (Mont St Quentin, et Moselle), et les axes de communications
 (autoroute, voie ferrée), permettent directement d’établir des relations
entre les différentes échelles.

Par ailleurs, nous allons commencer à réfléchir sur les quatre volets :
géographies et territoire, armature urbaine, morphologie urbaine et
population.

17/03/2009

Groupe 5: Blareau/ Colinet/ Hiller/ Perdereau

Groupe 5: Blareau/ Colinet/ Hiller/ Perdereau

Compte-rendu  de la correction n°1- vendredi 13/03/2008:

Suite à la visite de Metz et son compte-rendu; notre choix s'est très vite porté sur le secteur Chambière/ Boulevard de Trèves/ Bellecroix; en effet ce quartier concentre à lui seul nombre de problèmes, questions et potentiels que l'ont retrouve à l'échelle de l'agglomération:

Le rapport à l'eau

L'articulation et la connexion entre quartiers et entre le quartier et la ville.

Le réemploi  d'anciennes casernes militaires

L'aspect paysager du site

Objectifs:

Délimiter plus précisément les limites de notre secteur et définir des thématiques à partir de l'analyse.

                > Le rapport à l'eau:

Étudier le rapport à l'eau à trois échelles:

à l'échelle de la promenade des remparts.

à l'échelle d'articulation entre centre et quartier (transition)

à l'échelle de la Moselle: aspect industriel (articulation)

            > L'articulation et la connexion entre quartiers et entre le quartier et la ville:

Analyser les flux; définir les points faibles des connexions entre notre secteur et celui de la route de Thionville et le centre ville: flux de l'autoroute/ enclavement géographique du boulevard de Trèves.

                > Le réemploi  d'anciennes casernes militaires:

Effectuer un travail de réflexion et de références à propos du potentiel des casernes: question patrimoniale et identitaire forte nécessitent une prise de position.

Possibilité de réhabilitation: changement de destination de ce bâti.

               > L'aspect paysager du site:

            Le potentiel paysager peut être l'occasion de créer un lien entre le centre historique et notre quartier.

L'analyse sera basée sur des schémas analytiques à l'échelle de notre quartier et de ce qui l'environne afin d'identifier les contraintes, potentiels et sur un tri de la documentation.

Il est important pour satisfaire ces objectifs de retourner sur place sans trop tarder et de préparer cette visite avec une analyse plus poussée.

GROUPE 8: Dubret, Jacquemin, Karayer, Peyrouse

Compte-rendu de la séance de Projet Urbain du vendredi  13 Mars 2009.

Plusieurs  enjeux ont été déterminés suite à la mise en commun des différents avis des  groupes :

-          L’importance de l’eau (multitudes de bras et de plans d’eau à Metz)

-          Question de la réhabilitation, rénovation des casernes. Est-il possible de visiter ces terrains militaires ? Montigny est un quartier plutôt homogène (différent de Ban Saint-Martin) qui pose la question de la relation entre les logements et les casernes.

-          Faut-il prendre en compte les projets en cour? On peut modifier certains tracés si à travers notre interprétation il y a des contradictions ou si on peut le justifier.

Secteur  BAN SAINT-MARTIN, DEVANT LES PONTS, PATROTTE :

-          L’A31 entretient une relation avec la route de Thionville mais également avec l’arrière du paysage. Il faut certainement créer un lien plus fort entre l’A31 et la route de Thionville. L’A31 par son rapport à la profondeur avec  Devant-Les –Ponts et Patrotte  apporte une question de limite. Quelles sont les limites et quelle échelle est pertinente ? La question de la limite avec la ville de Metz se pose.

L’A31  sera modifié en boulevard urbain pour le projet. Mais quand réellement le projet d’autoroute sera t-il réaliser à Metz pour désengorger l’A31 ?

-          Les activités portuaires, le canal, les bâtiments industriels en reconversion font partie des nombreuses qualités de ce secteur.

-          On observe un quartier peu dense, déstructuré, morcelé. (à certains endroits en cul de sac sur des voies ferrés). La densification de ce quartier apparaît donc comme le premier objectif.  Toutefois on trouve dans ce quartier une grande mixité, hétérogénéité que l’on trouve peu dans d’autres quartiers de Metz.

Le technopôle

-          Le Technopôle est un espace d’entrée d’agglomération lié au relief, à l’eau, au paysage et qui a moins d’histoire que les autres quartiers du fait de sa création récente. Toutefois une notion importante dans ce quartier sur laquelle on peut se baser est la limite. (problème de la frange, travail de la lisière, travail de l’entrée d’agglomération, mise en place de transports en commun…etc). Doit-on apporter du logement dans ce secteur pour une mixité ou cela doit il rester un quartier comme aujourd’hui qui vit seulement le jour ?

  Quelles relations le technopôle peut-il entretenir avec le nouveau CHU en construction ?

Objectifs du groupe :

Choix du quartier : BAN SAINT-MARTIN, DEVANT-LES-PONTS, PATROTTE

Préparation de la visite sur le terrain.

Recherche, impression de documents papiers (cartes actuelles, carte historique, documents informatisés..).

Répartition entre membre du groupe des lectures des documents fournis par les enseignants.

Analyse, diagnostic et grands enjeux de notre quartier.

16/03/2009

Groupe 1 BALDI, CHERIEF, COLNAT, DENG, CREUSOT

Compte-rendu séance du Vendredi 13 mars 2009 :

Suite aux premiers questionnements de la semaine passée, notre groupe souhaite travailler sur le secteur du Ban Saint-Martin/A31/Moselle, c'est-à-dire le long des berges de la Moselle, en essayant d’étendre l’emprise jusqu’au port de Metz (les silos bâtiment repère). La discussion s’engage avec notre assistante et plusieurs problématiques émergent autour d’espaces particuliers:

        - Tout d’abord se pose la question de l’autoroute A31 ou plutôt de son devenir vis-à-vis du plan de déplacement urbain actuel et à venir. La communauté urbaine réfléchie à un mode de transport en site propre composé de deux lignes qui se rejoignent au centre historique. L’enjeu sous-jacent est la meilleure desserte des quartiers outre Moselle et une interrelation des tissus urbains plus forts. Boulevard urbain ou autre ? Cette question ne peut se comprendre sans analyser les de cet axe par un regard à l’échelle de la grande région (situation transfrontalière avec le Luxembourg, bassin d’emploi en expansion…). Cette question du devenir à plus ou moins long terme de l’autoroute A31 doit nous interroger également sur son flux actuelsemprise foncière, notamment au niveau du nœud de Chambière.

       - Les rives de Moselle doivent alors attirer toute notre attention sur d’une part, la gestion paysagère de cet espace et relation avec la topographie des lieux et d’une composante actuelle essentielle de gestion de l’eau et des zones inondables, et d’autre part la requalification des liens avec le centre historique, l’île du Saulcy et le quartier de Chambière en devenir. Notons ici que le nœud de Chambière doit constituer une nouvelle centralité dans les déplacements et qu’il sera intéressant de regarder le travail effectué par les groupes des secteurs de Chambière et du boulevard de Trèves. Dans cette approche, il sera intéressant de regarder les aménagements réalisés le long de la Moselle vers le centre historique par les Allemands notamment pour s’interroger sur la valeur des berges de part et d’autre de l’île de Chambière.

     - La « poche verte », comme l’on pourrait l’appeler, sur la commune du Ban Saint-Martin, réserve foncière qui appartenait à l’armée, entretien une relation particulière avec le paysage proche centre historique du faubourg de Ban Saint-Martin, mais également avec le grand paysage des côtes de Moselle (le Mont St Quentin, le fort de Plappeville,…).  Il s’agit ici de réfléchir à la notion de parc urbain en regard des autres lieux de respiration dans la ville avec l’enjeu de ceinture verte.

    - Du reste, il faudra aborder l’identité même du quartier en relation directe avec les bords de Moselle, par la compréhension des différentes structures urbaines, de l’organisation du bâti et du parcellaire. L’enjeu est ici celui de la centralité, c’est-à-dire, à savoir quels sont les dispositifs nous permettant de créer un nouveau nœud attractif dans ce tissu, point fort à l’échelle de la commune et attirant pour l’agglomération.

Pour nous permettre de mieux appréhender l’identité géographique et morphologique du lieu (ses avantages et ses inconvénients), nous proposons de travailler d’ici la semaine prochaine autour de cinq thèmes à trois échelles (de la région Est, de l’agglomération et du grand secteur): une approche historique des différentes structures urbaines (morcellement et diversité), l’hydrologie et les zones inondables, le couvert végétal naturel, agricole et urbain, les flux routiers, ferroviaires et leurs hiérarchies, et les références concernant le traitement des berges (contexte industriel, port de plaisance remarquable, l’écluse,…).

13/03/2009

groupe 15 : HUTTOIS, MARGON, SENARAT, THIERY

Groupe 15

COMPTE RENDU :

De manière générale, on remarque une absence d’identité dans les quatre secteurs proposés. Les enjeux paysagers urbains et naturels diffèrent en fonction d’un lieu à un autre donnant ainsi une certaine qualité dans les paysages messins.

Il est évident que le réseau hydrographique joue un rôle significatif dans le maillage et la composition structurelle urbaine dans la partie Nord l’agglomération de Metz.

Chambière et Bd. Treves & Bellecroix :

            _ Intérêt paysager différent de la route de Thionville

            _ Qualité historique à sauvegarder

Problématique :

            _ Coupure urbaine par rapport à la Seille et à la Moselle, au Boulevard

            _ Mise en relation du relief avec les grands ensembles (phénomène de rupture)

            _ Ligne de transport en commun entre le secteur Nord et le technopôle

            _ Relation avec les fortifications (coupes à faire)

            _ Zones inondables (peut-être une opportunité "d'aérer" le tissu urbain du centre de la ville)

            _ Manque d’identité, de fonctionnalité =>volonté de créer du lien par des promenades bien aménagées,…

            _ Qu’est-ce qui se passe après la Moselle ? Travailler sur une logique de continuité

 

Ban-Saint-Martin :

            _ Quartier redéfini comme un vrai morceau de ville avec ses enjeux majeurs

            _ Fonctionnalité de l’autoroute A31 et des échangeurs (= surface perdue): Comment marche t-elle ?

            _ Question de la polarité urbaine avec sa propre identité en cohérence avec un vrai potentiel de densification

            _ Cheminement le long de la Moselle

 

Montigny :

            _ Question du franchissement et de la polarité à développer voire d’un nouveau centre

            _ Traitement paysager des abords, du bruit venant des réseaux ferroviaires

            _ La voie ferrée doit être analysée comme une rue (Cf. Nancy)

 

Route de Thionville

            _ Mise en relation du projet du TCSP comprenant un transport messin plus ou moins bien desservi

            _ Donner du lien avec la voie ferrée

 

Technopôle :

            _ Réalisation d’une vraie entrée de ville

_ Paysage de champs

_ Opportunité foncière importante (Cf. Stuttgart : construction de toute pièce d’un quartier)

Comment se déplacer dans la ville de manière pratique ?

 

Groupe 20: Ancel P, Knobloch S, Schwarb E, Kretzer C

Compte rendu de la séance de projet du 13/03/2009

Dans l’analyse nous allons rattacher l’agglomération Messine, dans le réseau de villes de Nancy à Luxembourg, à son environnement global et ses liens transfrontaliers. Ce qui implique par conséquent l’étude de ses réseaux et de ses valeurs spécifiques (patrimoine, paysage, réseaux). Nous allons étudier les spécificités de l’agglomération messine au sein du réseau de ce réseau de villes.

Nous avons décidé de travailler sur le secteur de Montigny. La méthodologie consisterait à mettre en évidence quatre ou cinq contraintes (lecture du « négatif ») et de voir comment les transformer en atouts.

           

            Ainsi, au premier abord on peut constater que cent ans de casernes ont conduit à la stérilisation du secteur et ont enclavé certaines zones. Notre travail consistera à retrouver une dynamique : intervenir sur un endroit ponctuel qui engendrerait un effet démultiplicateur sur un quartier. On  fera la comparaison entre des friches militaires insérées dans la ville et celles implantées à l’extérieur comme Frescaty.

            On s’interrogera sur les conditions d’accessibilité à ses quartiers dynamiques. (proximité de la gare, covoiturage, tram avec parking relais).

            On s’aperçoit que Montigny est une commune faisant la transition entre l’urbanisation dense du centre historique de Metz et la campagne environnante (plateau lorrain).

Groupe 23: Baudinet Enderlin Zagury

COMPTE RENDU DU 13/03/09

Approche globale du territoire :

-         A l’échelle européenne, Metz est une petite ville (200 mille hab), elle existe si on la lie au bassin sidérurgique : Metz, Luxembourg, Sarrebruck, Trèves

-         Ville réseau : Nancy, Metz, Thionville et Luxembourg

-         Intensifier l’identité de chaque ville pour exister à l’échelle européenne avec une logique de réseaux (transport…) entre chaque unité de cette « ville territoire »

(A la différence d’une agglomération telle que Lyon ou Strasbourg)

- Liaison Est/ouest actuelle peu efficace (elle a été pensée que dans un système parisien)

- Problèmes d’interconnexion des systèmes de transport à toute échelle.

- Enjeux majeurs : retourner Metz sur la Moselle (capital paysager)

- De part son histoire, Metz possède un héritage industriel, militaire et portuaire qui offre une opportunité de reconversion  des sites au sein même de la ville.

 - Enjeux du « recyclage » des bâtiments existants.

- Question des ressources : économie d’énergie, eau et espace naturel… (cf plan climat de la ville de Mulhouse)

Boulevard de Trèves/ Bellecroix :

-         Position stratégique du quartier mal exploiter actuellement, il faut passer d’une logique de rupture à une logique d’articulation.

-         Proximité avec le centre ancien, du coup, ce quartier n’a pas une vraie identité propre.

-         Il faudrait profiter des contraintes naturelles (Seille, colline, fortification) pour en faire une plus value pour le secteur (berges aménagées, parc urbain et mise en valeur du patrimoine)

-         Capacité de mettre en scène la ville grâce au Mont St Quentin.