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12/03/2009

Groupe 16: COURTOT, SOURISSEAU, TISSERANT, VUONG

Extension Technopole :


 

Le quartier du technopôle forme l’entrée de la ville, par le sud est, autour de la route de Strasbourg. Constitué principalement d’établissements universitaires et tertiaires au sein d’un espace plutôt qualifié pour l’agriculture, il ne permet pas de réelle appropriation de l’espace ni d’interactions sociales.

C’est un espace marqué par les vides (de nombreuses zones non qualifiées et de parkings), et par un manque de densité et de mixité. Sans identité propre, il se rapproche davantage d’une extension que d’un quartier et pose le problème du traitement de l’entrée de ville.

 

-       Le présent chantier de l’hôpital de Mercy, sans infrastructures concrètes permettant son fonctionnement,  obligera ses futurs utilisateurs à emprunter la voiture comme moyen exclusif de déplacement.

-     Il semble nécessaire de relier ce quartier au centre ville au moyen de transports en commun.

-       Vides à densifier

-       L’avenue de Strasbourg est à qualifier en réelle avenue et non en route. Avenue urbaine et non voie rapide, danger vitesse, coupure.

 


Montigny

 

Village excentré à l’époque, la commune s’est peu à peu  intégrée à la ville.  A l’ouest de l’agglomération messine, deux artères principales structurent le quartier et le relient au centre.  Plutôt dense et mixte, le quartier ne dispose cependant pas de véritable centre. Les composantes paysagères qui le qualifie sont les franges  ferroviaires et les casernes et ateliers. 

 

-       Axe nord sud Avenue du XXème corps à retravailler

-      Les ateliers SNCF, on ne les voit pas depuis l’espace public de la rue, entourés de logements, en cœur d’îlot, l’accès est difficile, les entrés sont discrètes + le cimetière pose problème pour l’accessibilité vers les ateliers.

-       Le grand boulevard rectiligne s’implante sur le tracé historique :

-       Faut il construire au centre de la cour au risque de dénaturer le sens de la caserne au profit de la densification ?

-      Question identique à propos de la clôture : faut il la supprimer, pour favoriser l’implantation de commerces (cette délimitation physique entrainant un recul depuis la rue )

 

 

Boulevard de la Trève/ Chambière


 

Grand boulevard supportant une importante circulation par sa liaison entre les deux autoroutes, il fonctionne comme un contournement de la ville.

L’enjeu est de requalifier ce boulevard, qui n’a aujourd’hui qu’un usage routier, en véritable boulevard urbain, en y insérant des trottoirs par exemple.

 

-       Grand talus végétal qui forme une rupture visuelle entre la vielle ville du quartier et les logements sociaux.

-       Ensemble de casernes avec cours formant l’identité militaire de la ville, à affirmer.

-       Caserne de qualité, traitement particulier, toiture végétalisée pour protéger des bombardements,

·      Certaines sont en cours de réhabilitation (bureaux, commerces, cours transformés en parking) ce qui pose la question du type de programmes à insérer sans perdre le sens de la caserne.

·      Les premiers bâtiments du boulevard sont aisés à réhabiliter, les porteurs étant légers.

·      Les suivants posent problèmes, du fait de leur imposante structure, autant de vides que de pleins, ne permet pas un aussi grand champ de possibilités de réaménagement.

-       Quels usages faut-ils insérer pour redynamiser le quartier ?

 

 

Les terrains de Chambière étaient autrefois constitués de friches inondables et appartenaient à l’armée. On y trouve aujourd’hui des jardins ouvriers, et, en fond de terrain, un cimetière juif bordé par un champ de tir.

Une usine de traitement des déchets (première usine d’incinération) s’est implantée sur ce site, entrainant la construction d’un quartier de logements sociaux pour les ouvriers y travaillant.

-       Usine de traitement des déchets, zone à traiter peut-être en parc ?

-       Dans les anciens abattoirs, stationnement de bus de l’autre coté terrain de sport avec récupération de l’eau.

 

 

Devant les ponts

 


Le quartier au nord ouest de la ville s’installe à partir du grand axe routier vers Thionville : cet axe devient fondateur : les commerces s’y accolent tant bien que mal, laissant peu de place au piéton.

La présence de la Moselle dans le secteur avec comme écho la présence de l’A31 structure en partie le paysage. Le tissus est constitué principalement d’anciennes habitations maraichères.

-       L’autoroute est une rupture dans la ville, et limite le franchissement d’un quartier à un autre. Se pose alors le problème de la sécurité routière et piétonne au niveau des échangeurs.

-       La présence des ronds points fluidifie le transport routier au dépend du passage des piétons.

-       Le fort de Queuleu est un élément de repère qui ponctue le parcourt

-       Aménagement léger de la foret en parcourt de santé

-       Belvédère avec une vue semi-dégagée vers la ville

-       Logements ouvriers désaffectés adossés à la colline.

-       Proche de la ville mais sensation d’isolement (végétation, etc. )

 

 

 


Notre choix se porte sur le secteur du boulevard de Trèves/Chambière, en raison de l’intérêt patrimonial (centre historique), qui contraste avec les logements sociaux situés à proximité. Sa localisation paysagère privilégiée (à proximité de l’eau et du végétal),  la multiplicité de ses espaces non traités, ainsi que le défi du traitement de la transformation de l’autoroute en boulevard sont des problématiques actuelles.

 

 

 

 

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