Groupe 16: COURTOT, SOURISSEAU, TISSERANT, VUONG
Extension Technopole :
Le quartier du technopôle forme
l’entrée de la ville, par le sud est, autour de la route de Strasbourg.
Constitué principalement d’établissements universitaires et tertiaires au sein
d’un espace plutôt qualifié pour l’agriculture, il ne permet pas de réelle
appropriation de l’espace ni d’interactions sociales.
C’est
un espace marqué par les vides (de
nombreuses zones non qualifiées et de parkings), et par un manque de densité et de mixité. Sans identité propre, il se
rapproche davantage d’une extension que d’un quartier et pose le problème du
traitement de l’entrée de ville.
-
Le
présent chantier de l’hôpital de Mercy, sans infrastructures concrètes
permettant son fonctionnement, obligera
ses futurs utilisateurs à emprunter la voiture comme moyen exclusif de
déplacement.
- Il
semble nécessaire de relier ce quartier au centre ville au moyen de transports
en commun.
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Vides
à densifier
- L’avenue de Strasbourg est à qualifier en
réelle avenue et non en route. Avenue urbaine et non voie rapide, danger
vitesse, coupure.
Montigny
Village excentré à l’époque, la
commune s’est peu à peu intégrée à la
ville. A l’ouest de l’agglomération
messine, deux artères principales structurent le quartier et le relient au
centre. Plutôt dense et mixte, le
quartier ne dispose cependant pas de véritable centre. Les composantes
paysagères qui le qualifie sont les franges
ferroviaires et les casernes et ateliers.
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Axe nord
sud Avenue du XXème corps à retravailler
- Les
ateliers SNCF, on ne les voit pas depuis l’espace public de la rue, entourés de
logements, en cœur d’îlot, l’accès est difficile, les entrés sont discrètes +
le cimetière pose problème pour l’accessibilité vers les ateliers.
-
Le grand
boulevard rectiligne s’implante sur le tracé historique :
-
Faut il
construire au centre de la cour au risque de dénaturer le sens de la caserne au
profit de la densification ?
- Question
identique à propos de la clôture : faut il la supprimer, pour favoriser
l’implantation de commerces (cette délimitation physique entrainant un recul
depuis la rue )
Boulevard de la Trève/ Chambière
Grand boulevard supportant une
importante circulation par sa liaison entre les deux autoroutes, il fonctionne
comme un contournement de la ville.
L’enjeu
est de requalifier ce boulevard, qui n’a aujourd’hui qu’un usage routier, en
véritable boulevard urbain, en y insérant des trottoirs par exemple.
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Grand
talus végétal qui forme une rupture visuelle entre la vielle ville du quartier et
les logements sociaux.
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Ensemble
de casernes avec cours formant l’identité militaire de la ville, à affirmer.
-
Caserne
de qualité, traitement particulier, toiture végétalisée pour protéger des
bombardements,
·
Certaines
sont en cours de réhabilitation (bureaux, commerces, cours transformés en
parking) ce qui pose la question du type de programmes à insérer sans perdre le
sens de la caserne.
·
Les
premiers bâtiments du boulevard sont aisés à réhabiliter, les porteurs étant
légers.
·
Les
suivants posent problèmes, du fait de leur imposante structure, autant de vides
que de pleins, ne permet pas un aussi grand champ de possibilités de
réaménagement.
-
Quels
usages faut-ils insérer pour redynamiser le quartier ?
Les terrains de Chambière étaient
autrefois constitués de friches inondables et appartenaient à l’armée. On y
trouve aujourd’hui des jardins ouvriers, et, en fond de terrain, un cimetière
juif bordé par un champ de tir.
Une
usine de traitement des déchets (première usine d’incinération) s’est implantée
sur ce site, entrainant la construction d’un quartier de logements sociaux pour
les ouvriers y travaillant.
-
Usine de
traitement des déchets, zone à traiter peut-être en parc ?
-
Dans les
anciens abattoirs, stationnement de bus de l’autre coté terrain de sport avec
récupération de l’eau.
Devant les ponts
Le quartier au nord ouest de la ville
s’installe à partir du grand axe routier vers Thionville : cet axe devient
fondateur : les commerces s’y accolent tant bien que mal, laissant peu de
place au piéton.
La
présence de la Moselle dans le secteur avec comme écho la présence de l’A31
structure en partie le paysage. Le tissus est constitué principalement d’anciennes
habitations maraichères.
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L’autoroute
est une rupture dans la ville, et limite le franchissement d’un quartier à un
autre. Se pose alors le problème de la sécurité routière et piétonne au niveau
des échangeurs.
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La
présence des ronds points fluidifie le transport routier au dépend du passage
des piétons.
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Le fort
de Queuleu est un élément de repère qui ponctue le parcourt
-
Aménagement
léger de la foret en parcourt de santé
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Belvédère
avec une vue semi-dégagée vers la ville
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Logements
ouvriers désaffectés adossés à la colline.
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Proche
de la ville mais sensation d’isolement (végétation, etc. )
Notre choix se porte sur le secteur du
boulevard de Trèves/Chambière, en raison de l’intérêt patrimonial (centre historique),
qui contraste avec les logements sociaux situés à proximité. Sa localisation paysagère privilégiée (à
proximité de l’eau et du végétal), la
multiplicité de ses espaces non traités, ainsi que le défi du traitement de la
transformation de l’autoroute en boulevard sont des problématiques actuelles.
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