« octobre 2006 | Accueil | décembre 2006 »
Rédigé à 18:15 | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
Rédigé à 19:10 | Lien permanent | Commentaires (2) | TrackBack (0)
.
.
.
.
.
.
.
;
;
;
;
;
,
,
,
,
,
.
.
.
.
.
,
,
,
,
,
,
,
.
.
.
.
.
.
,
,
,
,
,
.
.
.
,
,
,
.
,
,
.
.
Pour une promenade à Strasbourg cliquez sur :
http://ensanancy.typepad.com/nancystrasbourg/2006/11/petite_suite_st.html
.
jpM
Rédigé à 20:12 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Rédigé à 21:29 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
;
.
.
Depuis plusieurs années des millions de lombrics radieux envahissent nos villes pendant les fêtes. Il fait froid, les journées sont courtes, il faut bien s'imaginer pouvoir recréer la belle saison avec une débauche de lumière. Mais que d'énergie gaspillée! C'est une véritable orgie de watts! Une cuite collective de photons de toutes les couleurs; une drogue de l'oeil!
Inoffensif ce spectacle familial et bon enfant? A l'époque où nous commençons à comprendre, mais il est peut-être déjà trop tard, que la réalisation de nos fantasmes paradisiaques pourrait bien détruire la planète il est irresponsable "d'offrir au peuple" le mirage d'une nature "bonne maman" aux ressources infinies et aux reins solides. Je parie que nous regarderons dans quelques années ces réjouissances comme des gamineries d'enfants gâtés et destructeurs. La nuit pourrait être si belle en ville! Si belle et si profonde que la moindre petite flamme pourrait ressembler à un soleil.
Nous avons peur de la nuit et cela fait de nous des lumino-dépendants.
Trop de lumière tue la lumière et nous rend aveugle.
;
;
.
jpM
Rédigé à 22:05 dans Gastronomie | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Rédigé à 22:46 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
.
Chouquerouter : chercher où déguster la meilleure choucroute. "A Strasbourg j'ai chouquerouté plusieurs mois avant de trouver LA choucroute". (jpM, Carnet d'un kréabloger).
La choucroute, qui est à l'origine composée de choux salés et de charcuterie (de charcuterie fumée), fut la nourriture de base de nombreux marins. D'où l'expression, péjorative, "faire le chouquerouteur". Elle signifie qu'on ne comprend rien aux contraintes de la navigation et qu'on s'obstine à chercher un luxe introuvable.
Mais l'expression a sa version positive : "Quel chouquerouteur!" signifie que celui que l'on désigne ainsi a la capacité de saisir la moindre nuance de qualité. Sur une dizaine de choucroutes il saura trouvé la meilleure.
Mais, naturellement, la même expression peut se dire en mauvaise part. Elle signifie alors "quel emmerdeur!".
Dans le fameux roman de John Timor, Y a pas à dire, on trouve l'expression suivante : "chouquerouter un coca-cola". Elle signifie que, de manière absurde, la personne dont on parle prétend trouver l'introuvable.
.
.
jpM
Rédigé à 10:14 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Bzatbzater : danser avec entrain sur les suites pour violoncelle de Jean-Sébastien Bach.
Le verbe a l 'originalité de ne s'appliquer qu'aux danses directement inspirées par les suites pour violoncelle.
Je bzatbzate, tu bzatbzates... Subjonctif : "il aurait fallu que nous bzatbzatassions avec plus de concentration."
Le verbe bzatbzater vient de ce que l'on peut écrire :
"Les tzuites pour violontzelle de Tzean Tzébaztien Batz", le "tz" et le "zt" faisant directement référence, par abbréviation, au verbe allemand tanzen qui signifie danser.
"Qui n'a jamais bzatbzaté n'a jamais dansé".
Proverbe brandebourgeois.
Dérivés :
* Faire la bzatbzate : "faire la java" sur les suites pour violoncelle de JSB.
* Faire bzatbzate : idem avec un peu plus de dévotion. "Le week-end dernier j'ai fait bzatbzate avec une dizaine de potes. On s'est payé toutes les interprétations disponibles des suites".
* Etre opéré de la bzatbzate : expression péjorative qui signifie "être incapable de danser sur les suites pour violoncelle de JSB".
* Casser la bzatbzate, se faire couper la bzatbzate : par extension "casser l'ambiance", briser le jeu quand deux bzatbzateurs dansent de manière lascive.
.
.
.
.
.
jpM
Rédigé à 16:16 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)