En 1950 les "soeurs Etienne", sur un air jazzy, ont fait un tabac avec cette extraordinaire chanson :
Cui-cui
Quand le canari s’éveille
Cui-cui
Dans le gai matin s’envolent
Cui-cui
Trois notes toujours pareilles :
Cui… cui… cui…
.
Cui-cui
Mon petit oiseau frivole
Cui-cui
Dans ma cage d’or si belle
Cui-cui
Tu rêves de l’oiseau qui vole
Cui… cui… cui…
.
Ton langage est aussi beau
Que ton plumage de satin
C'est un poème divin qu’il faut
Pour traduire ces deux mots :
Cui-cui
Car chacun pour soi suppose
Cui-cui
En écoutant ta rengaine
Cui-cui
Que tu dis de belles choses
Cui … cui… cui…
Cui-cui
C’est mon canari qui chante
Cui-cui
Dans le bleu de ma fenêtre
Je pense à ma belle
A ces lèvres qui me mentent
A son cœur si peu fidèle
Cui... cui... cui...
.
C’est mon canari qui chante
Dans le bleu de ma fenêtre
Toujours gai qu’il pleuve ou vente
Cui-cui
Et moi je pense à ma belle
A ces lèvres qui me mentent
A son cœur si peu fidèle
Cui-cui
Pourquoi ne puis-je sous mon toit
Garder ma belle comme toi
Et l’admirer comme un oiseau
Sans jamais qu’elle dise un mot
Cui-cui
N’écoutez pas les paroles
Cui-cui
De tous les serments des belles
Cui-cui
C’est un gazouillis frivole
Oui... oui... oui...
Cui... cui... cui...
Cui... cui... cui...
;
;
;
Le texte gagne beaucoup à être récité avec une certaine dévotion. Malgré l'apparence le plus difficile est bien de dire "cui-cui".
.
.
jpM
Commentaires